mercredi 7 novembre 2007

Les définitions des mots pour la logistique

  1. Afin de faire rapidement le travail de logistique nous vous demandons de respecter la méthode suivante au moment où vous allez rentrer vos commentaires.
  2. Inventorier toutes les méthodes, outils utilisés dans l'industrie pour
  3. Améliorer la performance
  4. Résolution de problèmes
  5. Diminuer les gaspillages
  6. Structurer le système d'information
  7. ...
  8. Les classer par centre d'intérêt (Production d'idées, analyse, planification, suivi de plan d'actions, qualité, productivité ...). Vous pouvez adopter un classement avec catégories et sous catégories si vous le souhaitez.
  9. Pour chaque méthode et outil produire un descriptif de 5 à 6 lignes avec les objectifs recherchés.

  • Le dernier délais pour pouvoir rajouter votre travail c'est le 08/12/2007.
    Bon courage .


la Méthode

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264 commentaires:

1 – 200 sur 264   Suivant›   Les plus récents»
Majdoub a dit…

le mot: Kanban
définition:un système d'information qui fonctionne entre deux postes de travail et limite la production du poste amont aux besoins exacts du poste aval.
la source:wikipédia
nom prénom: Majdoub kamel

Majdoub a dit…

le mot juste à temps
définition: Le Juste-à-temps, ou JAT (Just-in-time ou JIT en anglais), est une méthode d'organisation et de gestion de la production, propre au secteur de l'industrie, qui consiste à minimiser les stocks et les en-cours de fabrication.
source: wikipedia
nom prenom majdoub kamel

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode des 5S (ou Kaizen)
Le but est d'augmenter la fonctionnalité de l’espace de travail. « les pertes sont des bénéfices potentiels ».
1- Ranger (Seiri) : libérer l’espace de travail; 2- Ordonner (Seiton) : « une place pour chaque chose et chaque chose à sa place », 3- Nettoyage (Seiso) : maintenir propre. 4- Etre soigné (seiketsu) : standardisation des 3 premiers S, permet le maintient des 3 première règles. 5- Suivre et faire évoluer (Shitsuke) : respect des règles,autoévaluation.

Johanna Zimmermann a dit…

Diagramme d’Ishikawa (diagramme de causes-effet).
C'est un outil d’analyse, permettant de poser un problème de qualité pour l’éliminer en remontant à sa cause.
Il se construit à l’aide d’un brainstorming avec un « candide » dans le groupe pour prendre en compte tous les facteurs potentiellement en cause.

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode des 7 pourquoi :
Le but est de déterminer la cause d’un problème. Elle consiste à se demander 7 fois pourquoi pour connaître la cause du problème de façon complète (la cause des causes) et l’importance de chaque causes dans ce problème. Elle permet de résoudre le problème par la racine en commençant par les causes les plus importantes.

Johanna Zimmermann a dit…

Le diagramme de Kano :
Le but est de classer les attentes des clients en 3 catégories : les attentes de base (implicite et apportent pas de satisfaction particulière). Les attentes explicites qui apportent une satisfaction proportionnelle à la réponse. Les attentes qui amènent une satisfaction du type « heureuse surprise », elles correspondent à des besoins émergeants.

Johanna Zimmermann a dit…

Système HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point).
Le but est de diminuer les défauts pendant la fabrication au lieu de faire des tests de qualité sur les produits finis. Cette méthode repose sur 7 principes.1:Analyse des risques potentiels pour chaque étape de fabrication.2:déterminer les points critiques pour la maîtrise des risques (CCP). 3:Etablir les limites critiques à respecter. 4: Mettre en place un système de surveillance. 5:Déterminer des mesures correctives au cas où le système de surveillance signale un CCP non maîtrisé. 6:Appliquer des procédures de vérification concernant le système HACCP. 7:Faire un dossier de toutes les procédures mise en place.

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode DMAIC (Define; Mesure; Analyse; Improve; Controle) :
Le but est d’améliorer les processus existants. 5 étapes :
1:Définir les objectifs d’amélioration des processus selon les attentes des clients et la stratégie d’entreprise.
2:Mesurer les processus et réunir les informations pour effectuer une comparaison avant/après.
3.Analyser les relations de causalité.
4.Améliorer les processus en fonction des résultats précédents.
5.Contrôle et test des nouveaux processus.

jennifer vannieuwenhuyze a dit…

AMDEC (Analyse des Modes de Défaillances et de leurs Criticités)
L'AMDEC est une technique utilisée dans la phase de conception d'un produit, d'un matériel ou d'un processus. Elle vise à anticiper les différents défauts ou pannes pouvant survenir sur un produit ou une machine, et à imaginer préventivement toutes les actions suscpetibles d'y remédier. MIL ed 2003

jennifer vannieuwenhuyze a dit…
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jennifer vannieuwenhuyze a dit…

Méthode OPT
La méthode OPT est une démarche de progrès permanent. Elle est applicable à tous les processus de production caractérisés par des goulets d'étranglement. Elle répond à trois objectifs :
- maximiser les ventes
- réduire les stocks
- réduire les coûts
http://www.faq-logistique.com/Methode-OPT.htm

jennifer vannieuwenhuyze a dit…

Méthode SPC (Statistical Process Control)
Cette méthode consiste à contrôler des échantillons de produit en sortie de machine. Elle sert à améliorer la qualité des opérations faites sur les machines. Dans le cas d'un travail majoritairement manuel l'objectif est d'éviter les erreurs d'inattention, les oublis ou les défauts liés à la précipitation.















































































































































































































































































































































































































































Méthode SPC (Statistical Process Control)
Cette méthode consiste à contrôler des échantillons de produit en sortie de machine.
Le SPC sert à améliorer la qualité des opérations faites sur les machines. Dans le cas d'un travail majoritairement manuel, l'objectif sera d'éviter les erreurs d'inattention, les oublis ou les défauts liés à la précipitation.

jennifer vannieuwenhuyze a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
jennifer vannieuwenhuyze a dit…

Méthode MTBF (Mean Time Between Failures)
Cette méthode permet de calculer des valeurs moyennes de durée de vie des pièces ou un temps moyen de bon fonctionnement entre deux pannes.
Mil 3eme ed

Majdoub a dit…

Le Toyotisme
Le Toyotisme ou Ohnisme (du nom de Taiichi Ōno, ingénieur chez Toyota) est une organisation du travail d'origine japonaise, qui s'impose comme l'amélioration du taylorisme et du fordisme. Il a d'abord été appliqué dans l'entreprise Toyota.

jennifer vannieuwenhuyze a dit…

Le Brainstorming, ou Remue-méninges, est une méthode de réflexion collective, qui permet à partir d’une concertation orale d’un groupe, de trouver une ou des solutions au problème posé. Cette méthode repose sur une technique de créativité de groupe, une expérimentation collective de l’ imaginaire, que l’on peu qualifier de désordre d’idées constructives. Le but du Brainstorming est de produire le plus d’ idées possibles, sur un thème donné, dans un minimum de temps.
http://www.logoscom.org/leconte.htm

Majdoub a dit…

La gestion des flux
La gestion des flux consiste à gérer l'amélioration des activités manufacturières pour optimiser chacun de ses flux indépendamment.

Un flux, en gestion manufacturière, c'est l'ensemble des activités de production accomplies afin de transformer une (ou des) matière(s) première(s) pour devenir un ou plusieurs produits différents.

Autrement dit, si une entreprise fabrique des produits différents mais que tous parcourent les mêmes étapes de production, il n'y a qu'un flux. Si par contre la moitié sont fabriqués par une série d'activités et que l'autre moitié par une série différente d'activités, il y a deux flux et ainsi de suite.

Un flux peut aussi être appelé une chaîne de valeur (anglais : value stream)
source LE MIL

Majdoub a dit…

La gestion de la production
La gestion de la production est l'ensemble des activités qui participent à :

*la conception,
*la planification des ressources (matérielles, financières, ou humaines),
*l'ordonnancement,
*l'enregistrement des activités de production,
*le contrôle des activités de production de l'entreprise.
*L'objectif est d'optimiser les processus de valeur ajoutée en améliorant de manière continue les flux allant des fournisseurs aux clients.
L'ensemble de ces activités doit être réalisé dans le respect des procédures établies (implicitement ou explicitement) par l'entreprise et tenir compte à la fois de la qualité de ses produits ou services, mais aussi de la sécurité de ses salariés ou de son environnement.
source le MIL

Anonyme a dit…

APS (Advanced Planning Systems)
Les APS ont pour objet l'optimisation de l'ensemble de la chaîne logistique, depuis la prévision de la demande jusqu'à la distribution, planification de la production et des approvisionnements.

Majdoub a dit…

Un logiciel de GPAO
Un logiciel de GPAO, Gestion de la production assistée par ordinateur, est un programme modulaire de gestion de production permettant de gérer l'ensemble des activités, liées à la production, d'une entreprise industrielle :

*Gestion des stocks et des achats
*Gestion de commandes
*Gestion des produits engendrés par ces commandes
*Gestion des articles entrant dans la fabrication de ces produits et de leurs nomenclatures
*Expédition des produits
*Facturation

Majdoub a dit…

MRP
Material Requirements Planning (MRP) est une méthode informatisée de planification de la production et de contrôle des stocks en vue de manager la production industrielle. Cette méthode peut être mise en œuvre sans informatique.

Un système MRP va tenter de répondre simultanément à trois objectifs :

*Assurer la disponibilité des *ressources pour la production et *pour la vente aux clients
*Minimiser le stock
*Planifier la production et les achats

Anonyme a dit…

4PL :
Le 4PL représente une formule d'externalisation plus poussée, dans laquelle le prestataire n'a plus en charge la distribution d'un produit sur une région donnée, mais l'optimisation d'une chaîne intégrant son client, les clients du client et les fournisseurs. Le prestataire 4PL exerce une activité de planification et de coordination de flux d'informations. Il conçoit à la fois l'architecture logistique et le système d'informations s'appliquant à ces processus intégrés. Par contre, il n'exécute pas les flux physiques correspondants, qui sont confiés à des opérateurs physiques distincts ou des prestataires.

jennifer vannieuwenhuyze a dit…

Algorithme de Johnson
Cette méthode a pour objectif de déterminer un ordre de passage des lots de telle sorte que le dernier lot soit terminé le plus tôt possible.
MIL 3e ed

Anonyme a dit…

ERP
Enterprise Resource Planning
logiciel qui permet de gérer l'ensemble des processus d'une entreprise, en intégrant l'ensemble des fonctions de cette dernière comme la gestion des ressources humaines, la gestion comptable et financière, l'aide à la décision, mais aussi la vente, la distribution, l'approvisionnement, le commerce électronique. »

Le principe fondateur d'un ERP est de construire des applications informatiques (paie, comptabilité, gestion de stocks…) de manière modulaire (modules indépendants entre eux) tout en partageant une base de données unique et commune. Cela crée une différence importante avec la situation préexistante (les applications sur mesure existant avant les ERP) car les données sont désormais supposées standardisées et partagées, ce qui élimine les saisies multiples et évite (en théorie) l'ambiguïté des données multiples de même nature

Majdoub a dit…

La Chrono-analyse
La Chrono-analyse est la méthode la plus utilisée afin de définir un temps de production en entreprise.

Outre le chronométrage simple d'un exécutant lors de ses tâches productives, elle consiste à appliquer certains coefficients :

Le Jugement d'Allure, d'Activité ou d'Efficacité (JA, JGA, JE),
Le Coefficient de Besoins Personnels,
Le Coefficient de Repos,
Les Coefficients d'Ambiance,
Les Coefficients d'entreprise (s’ils existent).
Le but de la chrono-analyse est de définir le temps de production pouvant être tenu par l'ensemble de la population active pour une activité donnée.

Majdoub a dit…

Le fordisme est un mode de développement de l'entreprise (ou d'organisation du travail), inventé par Henry Ford (1863 - 1947), fondateur de l'entreprise du même nom, et largement inspiré d'une autre organisation du travail: le taylorisme, ou organisation scientifique du travail (ou OST).

Le but de ce développement de l'entreprise est d'accroître la productivité et la production de l'entreprise grâce à plusieurs principes:

la division du travail en une division verticale (séparation entre conception et réalisation) et en une division horizontale (parcellisation des tâches), et l'apparition de la ligne de montage (et donc du travail à la chaîne);
la standardisation permettant de produire en grandes séries à l'aide de pièces interchangeables;
l'augmentation du pouvoir d'achat des ouvriers afin pour une part de stimuler la demande de biens de consommation(five dollars day contre 2 à 3$ auparavant), mais cette augmentation des salaires avait pour but principal de lutter contre le turn-over (démission des ouvriers) devenu de plus en plus élevé avec l'apparition du travail à la chaine, qui rendait les conditions de vie des ouvriers encore plus difficiles qu'auparavant.Il consiste aussi à améliorer le systéme de ford.

Majdoub a dit…

Le taylorisme
Le taylorisme est une méthode de travail qui tire son nom de l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Cette méthode repose sur une division du travail en tâches simples et répétitives individuellement optimisées et sur le paiement des employés au rendement (mesuré au nombre de pièces et avec l'aide du chronométrage). Taylor rencontra une grande efficacité dans la sidérurgie et il formalisa sa méthode dans un livre intitulé The Principles of Scientific Management (1911)[1].

Anonyme a dit…

3 PL :
L'externalisation classique consiste à confier à un spécialiste la réalisation des opérations logistiques et la mise en place des outils, compétences et systèmes nécessaires, avec l'objectif d'améliorer la performance. En particulier, depuis les années 80, les transporteurs classiques et des prestataires logistiques tels que Geodis ont développé des offres de services à plus forte valeur ajoutée, les conduisant à devenir de véritables prestataires logistiques réalisant des tâches de plus en plus variées.

Anonyme a dit…

DRP (Distribution Resource Planning / Distribution Requirement Planning)
Méthode de simulation de la chaîne de distribution dont le principe de base est de collecter les prévisions de ventes et d'en déduire les besoins en approvisionnements nécessaires aux entrepôts pour répondre à ces prévisions.

Anonyme a dit…

Modèle de Winters
Ce modèle est une extension du lissage simple, prenant en compte les phénomènes saisonniers ainsi que la tendance. On note que ce modèle permet de traiter les situations où les coefficients saisonniers et/ou la tendance évolue au cours du temps.
MIL 3e ed

Majdoub a dit…

L'EDI,
Electronic Data Interchange, est le terme générique définissant un échange d'informations automatiques entre deux entités à l'aide de messages standardisés, de machine à machine. L'EDI permet de réduire notablement les interventions humaines dans le traitement de l'information, et donc de le rendre effectivement plus rapide et plus fiable. La rapidité et la meilleure fiabilité des échanges par EDI permet de fluidifier les flux d'information échangés, et de réduire considérablement les couts de traitement tout en améliorant la sécurisations des transactions

Majdoub a dit…

Le "e-procurement"; permet de soumettre des appels d'offres via Internet sur des places de marché. Plusieurs catégories de site cohabitent;
- Les marketplaces
- les portails d'échanges
- les site de sourcing
- les sites de gestion d'appels d'offres.

Anonyme a dit…

L'externalisation,
l'outrcing, désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une entreprise vers un partenaire externe. Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités non essentielles et non stratégiques (celles qui ne sont pas productrices de revenus) d'une entreprise. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise autour de sa sphère d’activités : ses compétences de base et son cœur de métier (core business en anglais).

Anonyme a dit…

L’offshoring
Désigne la délocalisation des activités de service ou de production de certaines entreprises vers des pays à bas salaire.

Les entreprises peuvent trouver les compétences nécessaires à leur développement en faisant appel à des sous-traitants spécialisés d'autres pays: dans ce cas, on parlera d'outsourcing offshore. Si ces entreprises sont des filiales de l'entreprise, on parlera d'investissement direct à l'étranger (IDE)

Ces délocalisations ont surtout pour but d’assurer des services tels que la maintenance d’applications informatiques, les centres d'appel, la gestion, l’achat

Anonyme a dit…

Le nearshoring
Le nearshoring, par différence au offshoring, est le fait de délocaliser une activité économique, mais dans une autre région du même pays.
wikipedia.org

Anonyme a dit…

Le QFD
QUALITY FUNCTION DEPLOYMENT
Methode de travail de groupe utilisée dans les phases de conception et fabrication de nouveaux produits, elle vise à permettre à des personnes de secteurs trés différents, comme le marketing, la production, le design. le QFD se presente sous la forme de sept blocs que l'on appelle la MAISON DE LA QUALITE:
les attentes, les element de l'offre, les contribution, postion par rapport à la concurrence, les caracteristique des élements, la matrice de correlations, et conparasion technique de la concurrence

Anonyme a dit…

Le principe des cinq zéros, c'est-à-dire :
Zéro panne : La chaîne ne doit pas s'arrêter, il faut anticiper le problème. L'entretien et la fiabilité des machines sont donc essentiels.
Zéro défaut : Pas de coulage, ni de rebut. Quand un produit non-conforme est identifié et il est mis de côté. Le processus de fabrication doit donc limiter au maximum les défauts de fabrication. Le contrôle du processus productif doit être intégré à la chaîne de production.
Zéro papier : Pas d'administration. Il faut limiter les procédures administratives complexes qui ralentissent le processus de décision, et réduire la paperasserie.
Zéro délai : La production est adaptée aux besoins de l'aval, en produits intermédiaires ou finis. Pour y arriver il faut mettre en place des processus de production facilement reprogrammables et adaptables. Il faut réduire au minimum le délai entre la prise d'une commande et sa satisfaction. L'entreprise doit réduire au minimum le temps nécessaire pour changer le produit en cours de fabrication.
Zéro stock : Pas de délais, donc pas de stocks. Les stocks de produits finis ou de produits intermédiaires coûtent chers à l’entreprise.

Anonyme a dit…

le WBS; Le Work Breakdown Structure ou Le découpage du projet en tâches
Le WBS a pour but d’aider à organiser le projet, à établir la planification de référence et le budget prévisionnel. Il permet également de déléguer et de contractualiser la mission confiée à chaque acteur.

(BS est un arbre représentant la liste structurée de tous les travaux du projet. Les travaux sont à ce stade uniquement identifiés.

Anonyme a dit…

SMED; Single Minute Exchange of Die,
La méthode SMED est utilisée dans le cadre de changements de fabrication. Elle a pour objectif de réduire ces temps, et permettre ainsi de réduire la taille de lot minimale.
Lors d'un changement de fabrication, la partie mise en train (MET) peut représenter une part importante dans la fabrication. Et la partie mise en train n'est pas productive. Le but est de diminuer ce temps consacré au réglage, afin d'obtenir des changements d'outils rapides ou des réglages instantanés.

On distingue deux types de réglage :

Réglages / temps internes : ils correspondent à des opérations qui se font machine arrêtée, donc hors production.
Réglages / temps externes : ils correspondent à des opérations qui se font (ou peuvent se faire) machine en fonctionnement, donc en production

Johanna Zimmermann a dit…
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Johanna Zimmermann a dit…
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Anonyme a dit…

Modèle SCOR
C'est un outil de modélisation développé en 1996 par le Supply Chain Council. Il définit une démarche, des processus, des indicateurs et les meilleures pratiques du moment pour représenter, évaluer et diagnostiquer la Supply Chain. Cette méthodologie basée sur le client est générique, rigoureuse, complète et structurante. Elle met en premier lieu à disposition des acteurs de la Supply Chain un langage commun et standardisé (alphabet, processus, indicateurs) qui répond à un besoin de définition unique, afin d’accélérer l’intégration interne et externe des entreprises. (productique.org)

Anonyme a dit…

BPR : Business Process Reengineering
Démarche de remise en question et de redéfinition en profondeur des processus d'une organisation en vue de la restructurer pour la rendre plus efficace tout en réduisant les coûts. Cette réorganisation des méthodes de travail constitue souvent la première phase d'un projet d'informatisation : on commence par rationaliser une activité de l'entreprise (la prise en compte d'une commande d'un client) afin de bien cerner tous les cas de figure et de pouvoir déclencher des actions adéquates de manière automatique et sans ambiguïté. (JDN)

Anonyme a dit…

La méthode CRAFT
(Computerized Relative Allocation of Facilities Technique) est une méthode itérative visant à optimiser les implantations (industrielles, entrepôts, etc.) en combinant deux critères:

- les distances entre les emplacements disponibles dans l'usine ou dans l'entrepôt
- les flux entre les postes de travail

En appliquant toutes les combinaisons possibles distances / flux, on est en mesure d'établir la solution qui minimise la valeur totale de la matrice obtenue. Cette matrice correspond à l'implantation optimale.

www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

Le poka yoke
C'est un terme japonais que l'on peut traduire par système anti-erreur.
Concept lancé par Shigeo Shingo chez Toyota, il s'agit en fait d'une démarche qualité qui vise à prévenir les erreurs en agissant sur les tâches de production et leur enchaînement dans les processus, mais aussi les équipements, les outils, etc.
Aucune opération ne doit pouvoir être mal éxécutée et aucun outil ne doit pouvoir être utilisé à contre-emploi. Les risques de non qualité et par conséquent tous les frais induits (contrôle de la production et gestion de la logistique des retours) sont ainsi minimisés.
L'accent est en particulier mis sur de systèmes d'alertes (visuelles, sonores, etc.) et sur la conception d'outils qui ne peuvent être utilisés que d'une seule manière.

www.faq-logistique.com

CAROLINE LETELU a dit…

Le cross docking:
Type de préparation de commandes permettant de se passer des phases de stockage des produits en entrepôt et du picking. Les colis sont regroupés par commande sur une plate-forme où ils ne font que transiter. Ils passent donc du transport amont au transport aval dans un délai très court. Grâce au temps économisé en se passant du stockage, cette méthode de préparation des commandes est donc particulièrement utile pour traiter les commandes à priorité élevée, ce qui peut être le cas de produits tels que les produits frais, la presse quotidienne, les produits évènementiels... Elle nécessite une organisation pointue avec le respect d'un ordonnancement des tâches de réception, expédition très précis. Au niveau du système d'informations, il convient de s'assurer que cette opération est possible à traiter.

garbit romain a dit…

L'allotissement est un type de préparation de commandes qu'il est d'utiliser lorsque une même référence est commandée par un grand nombre de client.

Principe : lorsqu'une ligne de commande est commune à plusieurs clients, on cumule la somme des besoins sur cette ligne de commande et on répartit les articles sur chaque colis / palette affectés à un client.

Intérêt : Grâce à cette méthode on minimise les déplacements des préparateurs de commandes.

Limites :

Pour que le temps de répartition soit "amorti", il faut que la ligne de commande soit commune à un maximum de clients.
On considère que le différentiel de temps passé à prélever 2 unités d'une même référence plutôt qu'une seule est marginal,à condition que le prélèvement de la deuxième unité n'oblige pas à se déplacer à un autre emplacement de picking

garbit romain a dit…

"L'analyse multicritères" : permet d'effectuer un choix entre plusiseurs solutions en décomposant une grille d'analyse en plusieurs critères chacun pondéré d'un coefficient (poids relatif).

On commence par identifier quels sont les critères surlesquels seront basés l'analyse, puis on effecte à chaque critère un coefficient selon son importance relative. Chaque solution envisagée est ensuite comparée en utilisant cette grille d'analyse multi-critères. En face de chaque critère retenu, on donne une note aux différentes solutions.

Cette note est ensuite pondérée en fonction du coefficient affecté au critère. A la fin des notations, une simple somme de l'ensemble des critères permet de connaître la meilleure solution.



La pondération des critères est donc prépondérante dans cette méthode, elle influe directement sur la qualité du choix effectué.

garbit romain a dit…

le mot "GPA" : est une méthode entrant dans le cadre des techniques ECR (Efficient Consumer Response). Il s’agit d’une stratégie de réapprovisionnement continu.

Dans la relation client/fournisseur, Le fournisseur ne se contente plus d’éxécuter simplement les ordres passés par les clients. En adoptant une démarche collaborative, le fournisseur devient co-responsable de l’approvisionnement de ses entrepôts sur la base des données qui lui sont transmises. A partir des informations concernant les stocks et/ou les ventes transmises par le distributeur, l’industriel peut lui-même calculer ses prévisions de besoins et adapter sa production et ses ressources logistiques.

Basé sur le partage de l’information , sur la coopération et l’adoption d’une stratégie « gagnant-gagnant », la GPA a pour objectif la réduction des stocks, la diminution des ruptures (amélioration du taux de service), le passage d’une logique de flux poussés à une logique de flux tirés et l’adptation des moyens et ressources aux besoins réels des consommateurs.

garbit romain a dit…

"le picking vocal" :les premières générations de modules de préparation de commandes vocales.
Basé sur la reconnaissance vocale, ce système permet via un ensemble casque / micro au préparateur de "communiquer" avec le système de gestion d'entrepôt.
Chaque utilisateur doit au préalable opérer un "paramétrage vocal". Une fois ce paramétrage effectué, il suffit de se connecter pour que le système affecte des ordres de déplacements et de prises aux préparateurs. Chaque opération peut être contrôlée oralement par confirmation de l'adresse des emplacements et décompte des unités prélevées / restant à l'adresse picking

CAROLINE LETELU a dit…

Analyse / Aide à la décision:
Un TMS (logiciel de gestion du transport - Transport Management System ) permet de plannifier les expéditions et les tournées, il contribue à définir des schémas de transport le plus efficace (choix et nombre de plates-formes de rupture/massification). L'objectif est de "structurellement" définir les schémas qui permettront de tenir les délais et de réduire les coûts dans le respect de la qualité (en particulier en trouvant les bons équilibres de flux qui permettront de limiter le vide dans les camions et les trajets à vide).

garbit romain a dit…

"La pyramide du CIM" :Il s'agit d'une représentation comportant 4 niveaux auxquels correspondent des niveaux de décision.Plus on s'élève dans la Pyramide du CIM, plus le niveau de décision est important
-au niveau 3 : la gestion des produits et des stocks, la gestion des approvisionnements, la gestion des clients, des commandes et de la facturation (gérés par les ERP)
- au niveau 2 : la localisation des produits en stocks, les mouvements physiques et la gestion des lots (géré par le système de gestion d'entrepôt)
- au niveau 1 : les automatismes
- au niveau 0 : les capteurs et actionneurs.
source : faq-logistique

garbit romain a dit…

"L'allotissement" est un type de préparation de commandes qu'il est d'utiliser lorsque une même référence est commandée par un grand nombre de client.

Principe : lorsqu'une ligne de commande est commune à plusieurs clients, on cumule la somme des besoins sur cette ligne de commande et on répartit les articles sur chaque colis / palette affectés à un client.

Intérêt : Grâce à cette méthode on minimise les déplacements des préparateurs de commandes.

Limites :

Pour que le temps de répartition soit "amorti", il faut que la ligne de commande soit commune à un maximum de clients.
On considère que le différentiel de temps passé à prélever 2 unités d'une même référence plutôt qu'une seule est marginal,à condition que le prélèvement de la deuxième unité n'oblige pas à se déplacer à un autre emplacement de picking

source: faq-logistique

CAROLINE LETELU a dit…

Reporting:
Présentation périodique de rapports sur les activités et résultats d'une organisation, d'une unité de travail ou du responsable d'une fonction, destinée à en informer ceux chargés de les superviser en interne ou en externe, ou tout simplement concernés par ces activités ou résultats.

Le terme désigne également une technique informatique de préparation de ces rapports, consistant à extraire des données pour les présenter dans un rapport humainement lisible (affichable ou imprimable).

WIKIPEDIA

garbit romain a dit…

Le mot "SCEM": est un concept qui a pour objet le pilotage de chaque étape des processus de la Supply Chain. A chaque étape sont surveillés les évènements qui interviennent et en cas de problème les informations sont remontées instantanément (notion de temps réel).

Le SCEM a donc un intérêt tout particulier dans l’amélioration du taux de service (repérer les anomalies et y remédier, informer les clients, etc.) et la traçabilité.

La mise en place d’un SCEM performant est particulièrement intéressante dans le domaine du e-commerce. Les logiciels de SCEM font le lien entre les logiciels de Supply Chain Execution et les logiciels de Supply Chain Planning.

garbit romain a dit…

le sigle "CPFR" est vu comme la continuité de l’actuel GPA (Gestion Partagée des Approvisionnements) à qui il pourrrait à terme succéder.

Cette méthode est basée sur l’amélioration de la supply chain (chaîne d’approvisionnement) grâce à une collaboration accrue entre acteurs dont certains objectifs sont pourtant contraires (clients et fournisseurs) avec en particulier un partage des informations ayant trait aux prévisions des ventes et à la planification.

L'idée est de synchroniser les plans d'actions des entreprises en fonction de ce partage d'informations.

Le CPFR nécessite donc une évolution dans les mentalités avec l’adoption de stratégies de type « gagnant-gagnant » impliquant coordination, échange d’informations et homogénéisation des systèmes d’échange de données informatiques.
source : faq-logistique

CAROLINE LETELU a dit…

La recherche opérationnelle:
L'ensemble des méthodes et techniques rationnelles d'analyse et de synthèse des phénomènes d'organisation utilisables pour élaborer de meilleures décisions.

La recherche opérationnelle propose des modèles conceptuels pour analyser des situations complexes et permet aux décideurs de faire les choix les plus efficaces.

WIKIPEDIA

garbit romain a dit…

"logistique inversée" :Système de gestion logistique des produits qui sont récupérés par l'entreprise, qu'il s'agisse de recyclage, récupération et autres formes de retours de produits du client vers le producteur.
source : faq-logistique

Anonyme a dit…

Les 5M :
Moyen mnémotechnique permettant de se souvenir des différentes origines possibles d'un défaut : La Matière, le Milieu, la Main -d'œuvre, les Méthodes, le Matériel. Ensuite, on se focalise sur l'un des 5M qui se rapproche le plus de notre défaut.

Anonyme a dit…

SUPPLY CHAIN : Ensemble de procédures et de logiciels permettant de gérer de façon optimale la totalité des flux d'information, des flux physiques et des interfaces entre les différents acteurs, producteurs et fournisseurs qu'implique la fabrication d'un produit ou l'offre d'un service. Ils se basent sur les renseignements concernant la demande jusqu'aux données nécessaires à la distribution, en passant par la conception et la production proprement dite.
AGRO JOB

Anonyme a dit…

METHODE DIMINUTION DES GASPILLAGE

Lean Management:
Ensemble de techniques visant à l’élimination de toutes les activités à non valeur ajoutée. « Lean » en français signifie « Moindre ». Le Lean management est de ce fait une technique de gestion essentiellement concentrée vers la réduction des pertes générés à l’intérieur d’une organisation, pour une production et un rendement plus justes.

Les objectifs du Lean management sont :

réduire la durée des cycles de production,
diminuer les stocks,
augmenter la productivité,
optimiser la qualité.

Le Lean management, au delà d’être un ensemble de méthodes, repose sur le facteur humain. Il suggère que le personnel travaille dans un état d’esprit orienté vers la diminution du gaspillage et des pertes (de temps, de matières, d’argent …). La motivation et les comportements des hommes sont nécessaires pour une application efficace.

Anonyme a dit…

Cahier des charges:
Un cahier des charges vise à définir exhaustivement les spécifications de base d'un produit ou d'un service à réaliser. Outre les spécifications de base, il décrit ses modalités d'exécution. Il définit aussi les objectifs à atteindre et vise à bien cadrer une mission. En interne, le cahier des charges sert à formaliser les besoins et à les expliquer aux différents acteurs pour s'assurer que tout le monde est d'accord. Il sert ensuite à sélectionner le prestataire et à organiser la relation tout au long du projet. Il est considéré comme un référentiel contractuel partagé par le prestataire et l'équipe interne, ce qui en fait un outil fondamental de communication du chef de projet.

Anonyme a dit…

Capacité finie / Capacité infinie:
intégration automatique ou non des contraintes capacitaires des moyens et différentes ressources de production dans le processus d?ordonnancement, sur la base de règles prédéfinies (contraintes de délai, rendement, débit, groupements et nomenclatures technologiques, etc.).

Laurent SUOS a dit…

la méthode du barycentre :

Le barycentre (ou centre de gravité) est une notion de physique qui peut être utilisée à profit dans le domaine de la logistique et du transport (lors de la réflexion sur l'emplacement géographique d'un nouvel entrepôt par exemple). En établissant une moyenne des coordonnées de chaque point considéré pondérée par le poids relatif de chacun de ces points (par exemple, en terme de chiffre d'affaire, de nombre de consommateurs, etc.), on obtient un centre de gravité qui représente une solution économique optimisée. Il convient cependant de tempérer l'utilisation brute de cet indicateur par d'autres éléments. Par exemple dans le cas de l'implantation d'un nouvel entrepôt :
- la situation politique et sociale dans les points considérés
- les infrastrustures
- l'évolution potentielle du site

Laurent SUOS a dit…

Les KPI logistiques :
Les KPI logistiques (Key Performance Indicator) sont des outils qui répondent à ce besoin.
Tableaux de bord s'appuyant sur des indicateurs pertinents, les KPI logistiques permettent de ressortir rapidement les points à améliorer et les causes de dérive de coûts, des délais ou de la qualité. Le choix de ces indicateurs est primordial et dépend du secteur étudié ainsi que des objectifs principaux de l'entreprise (le respect des délais, la réduction des coûts logistiques, etc.). Cependant, certains indicateurs ont une "portée universelle".

Laurent SUOS a dit…

La RFID : Radio Frequency Identification
La RFID est un système d'identification par radiofréquence qui permet d'écrire, de stocker et de relire des informations sur des étiquettes électroniques intégrées aux produits à tracer. Un système RFID se compose d'une puce électronique équipée d'une antenne (l'étiquette RFID) et d'un lecteur. Avec une portée d'un centimètre à une dizaine de mètres, il permet de lutter contre le vol, facilite les inventaires, permet de tracer les rayons (réduction des ruptures dans les linéaires par exemple les SKU , modèle/taille/coloris) et aussi une meilleure visibilité sur la Supply Chain soit amélioration de la prévision de la demande

Laurent SUOS a dit…

La méthode ABC :
La méthode ABC est une méthode consistant à classer un référentiel par ordre décroissant des sorties.
On se base sur l'idée communément admise qu'environ 20% des références représentent 80% des ventes ! Lors d'une analyse il est donc primordial de s'attaquer en priorité à ces références (le groupe A).
On divise donc le référentiel en trois groupes :
- le groupe A est composé des références constituant 80% des sorties (représentant généralement 20% des références),
- le groupe B est composé des références constituant 15% des sorties (représentant généralement 30% des références),
- et le groupe C est composé des références constituant 5% des sorties (représentant généralement 50% des références).
Cette méthode permet de connaître les références qui méritent une attention particulière. Le classement peut également être effectué pour constituer des groupes en fonction d'autres critères tels que les volumes, les achats, les CA, etc.

Laurent SUOS a dit…

Le Kitting :
Le kitting est une activité consistant à réaliser l'assemblage de composants de manière à constituer un produit unique (par exemple : une capuche avec un manteau).

Laurent SUOS a dit…

Le co-packing
Le co-packing est une opération de conditionnement consistant à regroupper des produits complémentaires (un lot de brosses à dents avec un dentifrice, un produit avec un échantillon) ou identiques ("3 paquets pour le prix de 2 !") lors de la préparation de commandes.

Anonyme a dit…

CAROLINE LETELU DIT...

Le barycentre (ou centre de gravité): notion de physique qui peut être utilisée dans le domaine de la logistique et du transport (lors de la réflexion sur l'emplacement géographique d'un nouvel entrepôt par exemple).
En établissant une moyenne des coordonnées de chaque point considéré, pondérée par le poids relatif de chacun de ces points (par exemple, en terme de chiffre d'affaire, de nombre de consommateurs, etc.), on obtient un centre de gravité qui représente une solution économique optimisée.
Il convient cependant de tempérer l'utilisation brute de cet indicateur par d'autres éléments.

cédric a dit…

Manutention (handling) : Déplacement physique des marchandises dans l'entrepôt (mise en stock, préparation de commandes, réapprovisionnement du picking, etc.)


source: faq logistique

Anonyme a dit…

Mesure de la satisfaction client :
La gestion de la relation client (abrégée GRC) est la traduction de l'anglais Customer Relationship Management (CRM) qui constitue un nouveau paradigme dans le domaine du marketing.
La GRC a pour but de créer et entretenir une relation mutuellement bénéfique entre une entreprise et ses clients. Dans ce mode de relations commerciales, l'entreprise s'attache la fidélité du client en lui offrant une qualité de service qu'il ne trouverait pas ailleurs.
L'image souvent employée pour illustrer ce concept est celle de la relation entre un petit commerçant et ses clients. La fidélité de ces derniers est récompensée, car le commerçant connaît leurs attentes et est capable d'y répondre et de les anticiper (comme un boulanger qui vous met de côté une baguette cuite selon votre préférence et vous fait crédit).

Anonyme a dit…

CAROLINE LETELU dit...

SAP Demand planning (SAP):
Progiciel prenant en compte :
- Planification multi-niveaux : du concept initial à la fabrication finale,
- Planification complexe : gestion des prévisions multiples, des promotions et des plans budget,
- Analyse des données : via des tableaux de planification ou des graphiques, avec la fonction glisser-déplacer et les options d'explosion de nomenclatures,
- Prévisions statistiques : via une boîte à outils de méthodes statistiques, il calcule des prévisions basées sur des données de dernière minute,
- Les promotions sont intégrées dans les prévisions,
- La gestion de la demande en mode collaboratif : permet aux groupes internes et externes de collaborer via Internet pour établir des plans de prévision consensuels.

Anonyme a dit…

A3 solving : La méthode A3
o Est pragmatique et focalisée sur la description des problèmes, facilitant ainsi la mise en place de solutions simples, économiques, et efficaces.
o Inclut des concepts du Système de production Toyota qui sont pertinents quand il s’agit de "voir les problèmes".
o Permet de décrire les problèmes de telle façon, et avec une telle précision, qu’il devient facile de trouver les solutions.
o Pratiquée quotidiennement par tous permet l’apparition d’un esprit d’équipe soudée développant ainsi les forces de l’entreprise.
o Fait croître les personnes.
o Est la "brique" élémentaire de la maison Toyota.

Anonyme a dit…

Deming :
La roue de Deming, est une illustration de la méthode qualité PDCA (Plan Do Check Act), son nom vient du statisticien William Edwards Deming.
La méthode comporte quatre étapes, chacune entraînant l'autre, et vise à établir un cercle vertueux. Sa mise en place doit permettre d'améliorer sans cesse la qualité d'un produit, d'une œuvre, d'un service...
- Plan : ce que l'on va faire
- Do : production
- Check : mesure, vérification
- Act : décision améliorative, corrective

cédric a dit…

gestion intégrale de la qualité (GIQ): C'est la Gestion qualitative de l'ensemble des facteurs pouvant influencer la qualité des performances d'une organisation. Elle s'appuie en particulier sur des systèmes de mesure de performance et d'amélioration continue.

Anonyme a dit…

Brainstorming :
Le principal intérêt de la méthode provient du fait que des idées très nombreuses et originales sont produites. Pour cela, les suggestions absurdes sont admises durant la phase de production d'idées et de stimulation mutuelle.

cédric a dit…

système de pilotage des activités en entrepôt (Warehouse control system):C'est l'ensemble des transactions et données du système d’information qui supporte la supervision d’activités en entrepôt (sur la réalisation des opérations, la qualité de l’affectation et de l’utilisation des ressources, les consommations budgétaires). C’est un système à caractère décisionnel.

cédric a dit…

transport combiné:C'est le transport d'une marchandise en utilisant plusieurs modes de transport (par exemple : le ferroutage qui est le transport combiné rail/route).

cédric a dit…

ordonnancement (scheduling): Technique de contrôle de la production dont le but est de permettre la réalisation du programme de production selon les délais établis, au coût minimal. Il se caractérise par la sélection, le séquencement et l'affectation des opérateurs à des tâches à réaliser sur des postes de travail individuels.

Anonyme a dit…

Six Sigma ou 6 Sigma
C'est une marque déposée par Motorola. Elle désigne une méthodologie structurée de management visant à une amélioration de la qualité et de l'efficacité des processus. Le Six Sigma a d’abord été utilisé sur des procédés industriels avant d’être élargi à tous types de processus, notamment administratifs.

Anonyme a dit…

La matrice de compatibilité
c'est un outil classique de la gestion de la qualité. Sa finalité est de permettre de retenir un choix entre plusieurs solutions.

Dans un premier temps, le groupe doit définir trois critères, qui lui permettront ensuite de choisir la ou les solutions les plus appropriées (exemples : efficacité, coût, rapidité, facilité de mise en œuvre, sécurité, confort, environnement, etc.).

Ensuite, le groupe liste toutes les solutions possibles en utilisant le brainstorming.

Enfin, il évalue chaque solution en utilisant une "matrice de compatibilité". Cette méthode consiste à évaluer la compatibilité des solutions avec les trois critères qui ont été définis, et de reporter le résultat dans un tableau en utilisant les signes suivants :

« + » si la solution est compatible avec le critère
« - » si la solution est incompatible avec le critère
« = » si la solution est indépendante du critère
« ? » si la relation entre la solution et le critère est inconnue
Les solutions à retenir sont celles qui ont obtenu le plus de signes « + ». Un signe « - » élimine la solution.

Anonyme a dit…

La norme EN 9100
c'est une norme européenne décrivant un système d'assurance de la qualité pour le marché aéronautique.
Son titre en français est « Système de management de la qualité - Exigences (basé sur ISO 9001:2000) et système qualité - Modèle pour l'assurance qualité en conception, développement, production, installation et exploitation (basé sur ISO 9001:1994)

Anonyme a dit…

Une carte de contrôle
C'est un outil permettant de determiner le moment où apparaît la cause assignable entraînant la dérive. Ainsi, le processus sera arrêté au bon moment, c’est-à-dire avant qu'il ne produise des pièces non conformes (hors de l'intervalle de Tolérance).

Les cartes de contrôle les plus utilisées sont les cartes de contrôle par mesure de la moyenne et de l'étendue. Ces cartes sont établies ensemble et interprétées ensemble. En effet, la distribution des dimensions fabriquées modélisée par une loi Normale est caractérisée par la moyenne et la dispersion (écart type).

Anonyme a dit…

La maîtrise statistique des procédés (MSP) (Statistical Process Control ou SPC en anglais):
C'est le contrôle statistiques de processus. Au travers de courbes analysant l’écart (en + ou en -) à une valeur de référence, anticiper sur les mesures à prendre pour améliorer un processus de fabrication (automobile, métallurgie, ...).

Cyril MAGNE a dit…

Contrôle de la qualité (Quality control-QC) : Méthodes et moyens mis en oeuvre pour mesurer et maintenir la qualité d'un produit fabriqué en conformité avec son cahier des charges.

Cyril MAGNE a dit…

Gestion de la relation client (Customer Relationship Management - CRM)

Méthode marketing de fidélisation des Clients par l'utilisation de données récoltées à travers différents outils tels que les call center, les newsletter, les cartes de fidélité/paiement. L'ensemble complet d'informations collectées sur la clientèle et les prospects est ensuite exploiter de manière à leur proposer des offres en correspondance avec leurs attentes.

Cyril MAGNE a dit…

Groupage (Consolidation / groupage) : Action consistant à réunir les envois de marchandises en provenance de plusieurs expéditeurs ou à l'adresse de plusieurs destinataires, et à organiser et faire exécuter l'acheminement du lot ainsi constitué par un transporteur.

Cyril MAGNE a dit…

Pyramide du CIM (Computer Integrated Manufacturing) : Représentation comportant 4 niveaux auxquels correspondent des niveaux de décision. Plus on s'élève dans la Pyramide du CIM, plus le niveau de décision est important et la visibilité globale et plus les cycles standards s'allongent.
Un niveau supérieur décide ce qu'un niveau inférieur exécute.
Ainsi, sont cocernés :
- au niveau 3 : la gestion des produits et des stocks, la gestion des approvisionnements, la gestion des clients, des commandes et de la facturation (gérés par les ERP)
- au niveau 2 : la localisation des produits en stocks, les mouvements physiques et la gestion des lots (géré par le système de gestion d'entrepôt)
- au niveau 1 : les automatismes
- au niveau 0 : les capteurs et actionneurs

Cyril MAGNE a dit…

Ordonnancement à capacités finies (Finite Capacity Scheduling – FCS) : Ordonnancement des activités de production/transformation, intégrant automatiquement des contraintes capacitaires sur les moyens et différentes ressources de production, sur la base de règles prédéfinies (contraintes de délai, rendement, débit, groupements et nomenclatures technologiques, etc.).

Cyril MAGNE a dit…

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

Cyril MAGNE a dit…

E-Commerce : Abréviation de commerce électronique par l'intermédiaire de l'Internet. Permet à la fois des transactions de commerce électronique inter et intra entreprises, et entre clients et entreprises. Le flux du travail commence dès réception de la commande. Celle-ci est envoyé électroniquement aux différents services concernés (acceptation de la commande, stock, expédition, service client, comptabilité etc.). Permet également l'archivage électronique des transactions. L’e-Commerce est idéal pour la vente directe de marchandises via Internet.

Cyril MAGNE a dit…

Yield Management : Mode particulier de tarification différencié en fonction du moment de réservation et de la période choisie. Système surtout utilisé en gestion hôtelière et dans le domaine des compagnies aériennes qui permet d'optimiser le CA avec des coûts et des capacités en grande partie fixes.

Cyril MAGNE a dit…

La méthode OPT (Optimized Production Technology)
La méthode OPT est une démarche de progrès permanente. Cette méthode est applicable à tous les processus de production caractérisés par des goulets d’étranglement (tâches critiques pour lesquelles un retard n‘est pas rattrapable : un retard sur cette tâche retarde d’autant la fin d’un projet).

Cette méthode répond à trois objectifs :

- maximiser les ventes
- réduire les stocks
- réduire les coûts

Cyril MAGNE a dit…

Lean manufacturing
Ensemble de techniques visant à l’élimination de toutes les activités à non valeur ajoutée, le principe du Lean manufacturing consiste entre autres à ne fabriquer que ce qui a été effectivement vendu, c'est-à-dire de passer à un flux tiré par la demande réelle et à intégrer les techniques du juste à temps (Kanban, SMED 5S).

Ce concept ancien, développé par Toyota et donc adapté en particulier aux industries aéronautiques et automobiles est certes bien intégré par les grandes entreprises mais reste cependant peu mise en œuvre

Le Lean s’applique en particulier très bien au secteur de la pharmacie et de la cosmétologie, secteur en recherche de rationalisation, où la pression du marché est importante et où les produits ont des durées de vie très limitées.

Ce mode de production au plus juste de la demande a pour effet de réduire le volume de stock et les encours de production

Anonyme a dit…

Le mot: PLANIFICATION SOUS CONTRAINTES (CONSTRAINT BASED PLANNING CBP) : Méthode et techniques permettant de planifier, à capacités finies et réalistes (parce que suivies et mesurées) ou sous contraintes (délai, objectifs de marge, disponibilité des ressources), l'ensemble des activités opérationnelles sur des horizons court terme mais également sur les niveaux tactiques et stratégiques de la Supply Chain. Ceci peut s'appliquer aussi bien au niveau de l'ordonnancement court terme de production que sur la modélisation/optimisation de réseau logistique (couche stratégique).
source agrojob.com

nom prénom : Anne-Sophie Schaack

Anonyme a dit…

le mot:Maison de la qualité
Cette méthode consiste à réaliser une analyse systématique des produits ou services de concurrents à l’aide d’outils spécifiques. Cette démarche est particulièrement utile lors d’une étude d’analyse de la Valeur quand il faut comparer les avantages et inconvénients des différentes solutions.
repose sur des analyses en cascade et de plus en plus fine où l’on analyse les attentes du client sur les “ Quoi ” requis par le client.
Ensuite à l’aide de matrices de corrélation et de la construction de la “ Maison de la qualité ” chaque terme du “ Comment ” est repris sous l’angle de “ Quoi ” de plus en plus détaillés. La procédure se répète ainsi jusqu’au niveau de détail souhaité.
source :http://www.cyber.uhp-nancy.fr/demos/MAIN-017/2lanalysed/2-3-2analy.html

Anonyme a dit…

Le mot: VSM ou Value Stream Mapping

Définition: Le Value Stream Mapping est une cartographie descriptive des flux dans le processus étudié, qui dans l'idéal couvre la supply chain entière; de l'approvisionnement des matières à la livraison au client consommateur.

Dans la pratique, le VSM est le plus souvent limité aux portes de l'entreprise, éventuellement étendu aux fournisseurs et sous-traitants stratégiques.

source:chohmann.free.fr

Nom prénom: schaack Anne-Sophie

Anonyme a dit…

le mot : Modèle de Gigout (cf AMDEC)

La qualité peut se comparer à un vecteur à trois composantes

Axe de garantie de la qualité
des produits :
• Contrôle, métrologie ; essais
• AMDEC, analyse de la valeur
• Revue de projet

Axe de l’assurance
de la qualité :
• Normalisation
• Manuel qualité
• Plan qualité
• Audits

Axe de la participation
à la qualité :
• Auto-contrôle
• Plan d’amélioration
• Cercle de qualité
• Formation
source:http://www.editions-eyrolles.com/Chapitres/9782708133884/chap3_Duret.pdf?xd=6fd352895c86117458ed95630b7254f3

Anonyme a dit…

Mot : Le SMED

La méthode SMED (Single Minute Exchange of Die) cherche à réduire systématiquement les temps de maintenance ou de changement de série fabriquée, théoriquement en moins de dix minutes (Single Minute).

Le résultat est obtenu par diverses actions réformatrices :

réduire l'arrêt des machines,
simplifier les systèmes de fixation,
limiter les réglages.
Ces principes d'organisation à l'origine destinés à l'industrie lourde peuvent bien sûr se transposer dans tous les autres secteurs d'activité.

source:www.logistiqueconseil.org

Nom : Schaack Anne Sophie

Anonyme a dit…

Mot:Le Lean management

Ensemble de techniques visant à l’élimination de toutes les activités à non valeur ajoutée. « Lean » en français signifie « Moindre ». Le Lean management est de ce fait une technique de gestion essentiellement concentrée vers la réduction des pertes générés à l’intérieur d’une organisation, pour une production et un rendement plus justes.

Les objectifs du Lean management sont :
réduire la durée des cycles de production,
diminuer les stocks,
augmenter la productivité,
optimiser la qualité.

source: www.logistiqueconseil.org

Nom: Schaack Anne-Sophie

Anonyme a dit…

COQ (Coût d'obtention de la qualité):
On entend souvent dire que la qualité coûte chère, et qu'il faut trouver un compromis entre le coût et la qualité. Cette conception a été prédominante jusque dans les années 1980. Le but est de trouver le meilleur équilibre économique entre les coûts de recherche de la confirmité et les coûts de non-qualité.
Pour cela, on calcule un coût global qui est la somme des coûts de conformité et des coûts de non-conformité en partant de l'hypothèse que ces deux coûts varient en sens inverse: plus on dépense d'argent dans la recherche de la conformité, moins on aura de défauts et donc les coûts de non-qualité seront plus faibles.
Les coûts de conformité recouvrnt les coûts des actions de prévention et les coûts des contrôles de qualité.
Les coûts de non conformité comprennent les coûts des défaillances internes (essentiellement coûts des rebuts et des retouches), les coûts des défaillances externes (dépannages sous garantie, les échanges, le traitement des réclamations des clients et la perte d'image de marque de l'entreprise).
Source: Livre Management Industriel et Logistique 3è édition.
Nom Prénom: Thiault Ludivine

Anonyme a dit…

le mots: outils statistiques en lien avec le contrôle qualité:

Distribution binomiale
Distribution hypergéométrique
Distribution de Poisson
Distribution normale
Distribution de Student
Distribution du khi-deux
Distribution de Fisher

Anonyme a dit…

Analyse de pareto:
Elle consiste à classer les défauts par nature en fonction de leur importance relative.
L'expérience prouve qu'un petit nombre de défauts représente souvent un pourcentage important de la non-qualité totale. D'où l'idée de traiter en priorité ces défauts afin de rétablir plus rapidement une situation proche de la normale.
Sur un axe, on placera chaque type de défaut et sur l'autre, le nombre de défauts. On verra alors apparaitre un histogramme.
Source: Livre Management Industriel et Logistique
Nom Prénom: Thiault Ludivine

Anonyme a dit…

le mot : algorithme de johnson
L'Algorithme de Johnson (ou plutôt les Algorithmes de Johnson, car il en existe plusieurs variantes) est un moyen rapide d'optimiser l'ordonancement de process simples

Anonyme a dit…

Traçabilité:
La traçabilité joue un rôle important dans la qualité : si l'on s'aperçoit qu'un élément de production est défaillant, la traçabilité permet de savoir quels produits sont passés par cet élément, d'agir de façon curative sur ceux-ci pour assurer la conformité du produit (résolution du/des problèmes et remise en conformité, destruction, rappel, ...), et de réaliser une analyse du problème en amont et aval pour mettre en place des actions correctives.

Source: Wikipédia

Nom Prénom: Thiault Ludivine

Anonyme a dit…

le mots: incoterms

Les incoterms (International Commercial Terms) visent à uniformiser les termes commerciaux les plus utilisés dans le commerce international en définissant par un terme unique, interprétable d'une façon identique de par le monde, une relation donnée entre un client et un fournisseur. Ils représentent un langage commun à la disposition de commerçants de langues et de pratiques commerciales différentes.

Ils ont été mis au point par la Chambre de Commerce Internationale (CCI) en 1936 et font l'objet de révisions régulières. Ils ont pour but de régler :

la répartition des frais liés au transport des marchandises ;
le transfert des risques au cours du transport des marchandises.
Les incoterms sont définis par des sigles répartis en trois catégories :

les incoterms de vente au départ (familles des E, C ou F) où les charges et les risques liés au transport principal sont supportés par l'acheteur;
les incoterms de vente à l'arrivée (famille des D) où les charges et les risques liés au transport principal sont supportés par le vendeur;
l'incoterm DAF , où le vendeur supporte les frais et les risques de transport jusqu'à une frontière donnée, au-delà de laquelle l'acheteur prend le relais.
Le choix d'un incoterm résulte de la négociation commerciale, mais aussi des capacités organisationnelles de l'entreprise et de facteurs extérieurs tels que les habitudes de marchés et les pratiques des entreprises concurrentes. Ce choix conditionnant le montant du contrat de transport, il est important de respecter certaines recommandations.

source:http://www.eur-export.com

Anonyme a dit…

le mots: Effet Mohring

L'effet Mohring est une propriété des systèmes de transport illustrant les rendements d'échelle.

Lorsque, sur un trajet donné, les moyens de transport (par exemple des bus) augmentent en quantité pour satisfaire la demande, leur fréquence augmente également, rendant l'utilisation de ces moyens de transport plus avantageux pour les utilisateurs (puisque leur temps d'attente diminue).

L’appellation de cet effet vient de l'économiste qui l’a étudié, Herbert Mohring.

Anonyme a dit…

Défauthèque:
Néologisme signifiant bibliothèque de défauts.
Permet de définir ce qui est accepté et ce qui n'est pas accepté.
Les critères d'acceptablitité des défauts peuvent être présentés sous forme de 2 colonnes : acceptable et non acceptable, mais il peut aussi s'agir de deux bacs contenant respectivement des produits rebutés et acceptés ou encore de séries de défaut avec des plages de tolérance.

Source: Wikipédia

Nom Prénom: Thiault ludivine

Johanna Zimmermann a dit…
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Anonyme a dit…

Diagramme KJ:
Cette méthode permet de recueillir tous les points de vue, idées suscités par une question particulière. Les diagrammes d'affinités ordonnent les informations en les groupant par catégories dans le but d'une analyse.
La méthode est relativement simple à mettre en oeuvre et fait partie de la boite à outils de la résolution de problèmes.
Il met en lumière le plus souvent les causes premières ou les solutions à un problème.

Source : Achats-Industriels.com

Nom-Prénom: Thiault Ludivine

Johanna Zimmermann a dit…
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Anonyme a dit…

La démarche 8 D:

8D est le raccourci anglais pour 8 DO (8 actions à réaliser).

Le 8D est une démarche Qualité qui permet d'éradiquer un problème au sein d'une entreprise ou organisation.

Cette démarche se concrétise fréquemment par un rapport 8D.

Action 1 : Préparer le process 8D
Action 2 : Décrire le problème
Action 3 : Identifier et mettre en place des actions immédiates
Action 4 : Identifier les vraies causes
Action 5 : Valider des actions correctives permanentes
Action 6 : Mettre en oeuvre les actions correctives permanentes
Action 7 : Prévenir toute récidive
Action 8: Féliciter toute l'équipe.

Source : Wikipédia

Nom-Prénom: Thiault Ludivine

Anonyme a dit…

Mot:Warehouse Management Systems
WMS, ou Warehouse Management System (Système de gestion d'entrepots), désigne une catégorie de progiciels destinés à gérer les opérations d'un entrepôt de stockage. L’objet premier du WMS n’est pas de prendre les commandes mais de les prendre en compte et d’en optimiser la préparation.

Le périmètre d'un WMS est limité et ne couvre pas toute la chaîne logistique. En général l’outil s’arrête à l’entrepôt.

Parmi les fonctionnalités typiques d'un tel progiciel, on trouve :

La réception
L’entreposage (mise en stock avec optimisation des emplacements)
La préparation
La gestion de stock
L’expédition
L’inventaire
Les WMS se sont agrémentés de fonctionnalités plus importantes depuis quelques années comme par exemple :

Le cross-docking
l'allotissement,
le co-packing,
l'inventaire tournant,
le kitting,
le slotting,
la traçabilité
Ces fonctionnalités sont mises en oeuvre soit d'une manière traditionnelle, en utilisant de moins en moins le support papier, mais plus fréquemment maintenant en utilisant des liaisons radio et des terminaux mobiles. Enfin on note l'apparition, des technologies de pilotage vocal ou voice picking.

source:wikipedia

nom: Schaack Anne-Sophie

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode : TPM
But : Modifier et améliorer le maintient des machines pour diminuer au maximum tout les défauts (les pertes et gaspillages). Impliquer les opérateurs pour élever leur niveau de compétences et d’enrichir leurs tâches en leur confiant la maintenance de premier niveau. Les opérateurs connaissent leurs machines et interviennent rapidement, ce qui diminue le gaspillage de temps. Tous les aspects et toutes les fonctions de l’entreprise sont concernés, afin que tous se sentent concerné, de même que la construction de petits groupes compétents et autonomes.
Pour atteindre ces buts, la méthode TPM s’appuie sur l'amélioration de l'efficience du système de production et sur la mise en place de conditions idéales au service de la performance.

Source : http://chohmann.free.fr

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode: Le Benchmarking

But : Situer l’entreprise sur un plan national ou international en termes de performances, coût, délai, qualité, en la comparant à une autre entreprise similaire en terme d’activité mais ayant une meilleure performance.
Le benchmarking peut couvrir l’ensemble des prestations logistiques ou seulement une certaines parties. La comparaison se fait en fonction des objectifs fixés par l’entreprise, en fonction du choix des sources d’informations, de l’établissement de la grille d’évaluation. Les limites de cette méthode sont la faible motivation des sources d’information, la précision des données reçues qui ne sont pas certaines.
Le Benchmarking permet d’alimenter la réflexion des groupes de projets dans le sens d’une évolution vers un réel progrès.

Source : www.apl.tm.fr

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode : Crossdocking
Le Crossdocking vise à limiter le stockage grâce à la synchronisation entre la demande des clients et les livraisons des fournisseurs. Cette méthode est utilisée par les plates-formes d’éclatement, les centres de distribution où les produits sont stockés moins d’une journée dans l’entreprise. Cette méthode est très utilisée pour les marchandises en rupture de stock, les produits destinés à un réseau de distribution (pièces de rechanges, prêt à porté) ou encore pour les produits soumis à une péremption rapide. Le Crossdocking doit se faire avec une procédure d'"assurance qualité" car la réception/réexpédition d’un produit doit se faire en pleine confiance.

Source : www.apl.tm.fr

Anonyme a dit…

Le mot :Algorithme de Wagner-Définition : méthode mathématique de lotissement qui évalue toutes les solutions possibles de commande pour satisfaire les besoins nets de chaque période d’un horizon de plannification.
Source : www.olf.gouv.qc.ca

Johanna Zimmermann a dit…

Méthode : PERT (Programm Evaluation and Review Technique)
But : gains de temps dans la production.
Cette méthode consiste à mettre en ordre sous forme de réseau plusieurs tâches qui, du fait de leur dépendance et de leur chronologie débouchent à l’obtention d’un produit fini. Cette ùéthode est principalement utilisée pour un projet important. Pour la mettre en œuvre, il faut :
1.définir le projet d’ordonnancement et nommer un responsable de projet.
3.analyser le projet par groupe de tâches de plus en plus petit.
4.définir chaque tâche et leur durée de réaisation.
5.rechercher les coûts qui peuvent remettre en causes certaines tâches.
6.contrôler régulièrement
La méthode met en évidence les liaisons entre les diverses tâches du projet pour définir un chemin « critique ». Ce chemin est représenté à travers un diagramme qui met en évidence chaque tâches et étapes du projet.

Source : www.logistiqueconseil.org

Anonyme a dit…

Le mot : méthode PERT (Programm Evaluation and Review Technic)
Définition : Technique permettant de gérer l'ordonnancement dans un projet. La méthode PERT consiste à représenter sous forme de graphe, un réseau de tâches dont l'enchaînement permet d'aboutir à l'atteinte des objectifs d'un projet.
• Un découpage précis du projet en tâches ;
• L'estimation du la durée de chaque tâche ;
• La nomination d'un chef de projet chargé d'assurer le suivi du projet, de rendre compte si nécessaire et de prendre des décisions en cas d'écart par rapport aux prévisions
Source : www.commentcamarche.net

Anonyme a dit…

Le mot : Différenciation retardée
Définition : stratégie qui consiste à standardiser au maximum les opérations de fabrication et à intégrer aussi tardivement que possible les éléments de personnalisation d’un produit dans la chaîne de production, de manière à dégager des économies d’échelle sur la majeure partie du processus.
Source : www.olf.gouv.qc.ca

Anonyme a dit…

Le mot : SSCC, Abréviation de Serial Shipping Container Code (Numéro de colis).
Définition : Code international à 18 chiffres dont la structure a été définie par EAN International et permettant d'identifier chaque colis de façon unique. Symbolisé en EAN 128 sur le colis et transmis dans l'avis d'expédition, il permet d'assurer la traçabilité des produits.
Source : e-logisticien.com

Anonyme a dit…

Le mot : Gestion de parc
Définition : Ensemble des opérations d'entretien, de maintenance et d'organisation des flux qui permettent de disposer en temps voulu, à un endroit donné, des quantités nécessaires de palettes. La gestion de parc peut se faire pour son propre compte, dans le cadre d'une prestation de service spécifique ou bien d'un système locatif.
Source : e-logisticien.com

Anonyme a dit…

Le mot : KPI (Key Performance Indicator)
Définition : Tableaux de bord s'appuyant sur des indicateurs pertinents, les KPI logistiques permettent de ressortir rapidement les points à améliorer et les causes de dérive de coûts, des délais ou de la qualité.
Source : swisstools.net

Anonyme a dit…

Le 360° feed-back :
Le 360° feed-back est un outil d’observation et d’évaluation des managers. Il permet à un cadre
d’entreprise de comparer sa propre évaluation à la perception de son entourage. Des questionnaires
anonymes recueillent les points de vue d’un ou deux supérieurs hiérarchiques, de trois à cinq pairs
fonctionnels et inter fonctionnels, de trois à cinq collaborateurs et du participant.

Anonyme a dit…

Le Reengineering:
Le Reengineering ou reconfiguration totale remet en cause les processus de gestion de l’entreprise,
pour aboutir à des gains de performance spectaculaires et à la diminution de la taille des activités, des
effectifs salariés essentiellement les cadres intermédiaires (Downsizing). Le responsable doit motiver
les membres de son équipe, les inciter à être imaginatifs et autonomes, accepter le droit à l’erreur.

Anonyme a dit…

Les Groupes d’Amélioration de la Qualité (GAQ):
Les Groupes d’Amélioration de la Qualité (GAQ). Suite des cercles de qualité, la constitution de ce
type de groupe est justifiée par le fait que les processus à améliorer impliquent plusieurs postes de
travail appartenant parfois à des services différents. Les opérateurs de ces processus sont les plus
capables d’identifier les causes des dysfonctionnements et d’imaginer des solutions pour y remédier.

Anonyme a dit…

Le Management Opérationnel
Le Management Opérationnel. Chaque équipe a des objectifs quantitatifs et horaires (jalon) et rend
compte de ses résultats. Les incidents sont analysés à travers une analyse causale dans le poste. Des
indicateurs de performance spécifiques à chaque niveau hiérarchique sont analysés périodiquement.

Anonyme a dit…

Le mot : méthode CRAFT (Computerized Relative Allocation of Facilities Technique) est une méthode itérative visant à optimiser les implantations (industrielles, entrepôts, etc.) en combinant deux critères:
- les distances entre les emplacements disponibles dans l'usine ou dans l'entrepôt
- les flux entre les postes de travail
Source : swisstools.net

Anonyme a dit…

le mot : Réingénierie (Re-engineering)
Definition : Démarche visant à restructurer et d'améliorer les performances d’une entreprise en remettant à plat l'ensemble de ses processus. Cette démarche s'oppose à celle du Kaizen.
Source : swisstools.net

Anonyme a dit…

Compiere (prononcé kompjere) est un Progiciel de gestion intégré (PGI) et Gestion de la relation client (GRC) à source ouvert : open source pour les Petites et moyennes entreprises (PME) dans la distribution et le service. L'application est fournie sous double licence GPL et propriétaire[1]. Les sources peuvent être adaptés aux besoins du client. Le support technique et la documentation sont payants.

Anonyme a dit…

Plan industriel et commercial : PIC (Manufacturing and Sales Plan) : Conjointement établi par la direction générale, la direction de la production et la direction commerciale à partir du carnet de commandes et des prévisions commerciales, le PIC a pour objectif d’adapter les ressources (main d'oeuvre et niveau de stocks) aux besoins de production pour satisfaire la demande en terme de quantité.

Anonyme a dit…

Programme Directeur de Production – PDP (Master Production Schedule - MPS ) : Il prend en compte les prévisions, le Plan Industriel et Commercial, le portefeuille des commandes, les disponibilités des matières et ressources, les objectifs du management, pour fixer le cadre de référence de la Production sur une période donnée.

Anonyme a dit…

Système de pilotage des activités en entrepôt (Warehouse Control System – WCS) :
C'est un ensemble des transactions et données du système d’information qui supporte la supervision d’activités en entrepôt (sur la réalisation des opérations, la qualité de l’affectation et de l’utilisation des ressources, les consommations budgétaires). C’est un système à caractère décisionnel.

Anonyme a dit…

La courbe en S

La courbe en S est un outil de gestion de projet et surtout de suivi de projet. L'idée est de représenter graphiquement l'état d'avancement du projet.

On parle de courbe en forme de S car de manière générale, le projet suit cette forme de S avec un démarrage progressif, suivi d'une accélération, puis enfin d'un ralentissement lorsque le projet touche à son terme.

On trace cette courbe en phase d'avant-projet. On obtient alors une courbe prévisionnelle d'avancement du projet à laquelle on peut se référer au fur et à mesure de l'avancement du projet pour identifier les éventuels retards pris et donc maîtriser les éventuelles dérives.

Plus la deuxième courbe qui représente l'avancement réel du projet se trouve décalée vers la droite plus le projet a pris du retard.


On peut également introduire sur le même graphique la notion de suivi des dépenses. La courbe en S permet alors de suivre les coûts d'un projet à chaque étape et de contrôler les éventuelles dérives à un instant t.

Anonyme a dit…

Le PERT (Programm Evaluation and Review Technique)

Méthode mise en oeuvre par la marine américaine à la fin des années 50, le PERT est une technique d'ordonnancement des tâches utilisée pour gérer les projets.

A chaque tâche est associée une durée ainsi que la liste de ses antécédants (tâches qu'il faut avoir teminé pour commencer la tâche en question).

Le PERT permet d'obtenir un ordonnancement optimum des tâches les unes par rapport aux autres pour minimiser la durée totale du projet et de connaître les marges existantes sur certaines tâches (différence entre la date au + tard et la date au + tôt).

Anonyme a dit…

Les modules de SCE

Les modules de SCE assurent la gestion opérationnelle de la Supply Chain (le très court terme).

Ils permettent :
- de rationaliser la totalité du cycle de traitement des commandes (de l’entrée à la facturation)
- d'optimiser la gestion de la production,
- d'optimiser le transport (Transport Management Systems - TMS) et
- d'optimiser la gestion d'entrepôt (Warehouse Management Systems - WMS).

Ils complètent les modules de SCP (Supply Chain Planning)

Anonyme a dit…

Les modules de SCP

Les modules de Supply Chain Planning (SCP) permettent la gestion de "l'amont des processus logistiques".

Ils assurent la prévision de la demande et la planification des ressources et approvisionnements pour répondre à cette demande en tenant compte des contraintes telles que les capacités de production, délais et coûts.

Ces contraintes, via les modules d'APS (Advanced Planning System), sont traduites en temps réel en indicateurs permettant la prise de décision.

Il s'agit donc de véritables modules de gestion de la relation avec les fournisseurs intégrés aux ERP.

Le SCP fournit des indicateurs précis qui aident à décider quoi faire, et quand le faire afin de répondre aux futurs commandes dans le respect de la qualité de service aux clients en terme de quantités et de délais, sans toutefois dépasser des niveaux de stocks inutiles et coûteux.


Le SCP utilise les données suivantes :

1- La nomenclature du produit : "recette du produit" (composants avecquantités correspondantes)
2- Le process de fabrication du produit :
- les tâches
- ordonnancement des tâches
- ressources nécessaires
- matière première
- durées de préparation et d'exécution
- temps

3- Les en-cours:
- stocks diponibles
- commandes en cours

L'emploi des modules de SCP doit donc permettre le contrôle de sa chaîne d'approvisionnements aux noveaux stratégiques, tactiques et opérationnels.

Anonyme a dit…

Entreposage :
prestation qui requiert de la part du e-logisticien la gestion d'un dépôt, magasin ou entrepôt dans lequel les marchandises seront stockées. L'emplacement de l'entrepôt est important car cela aura un impact sur le délai d'acheminement et sur le coût du transport. Il est en général préférable que l'entrepôt soit localisé au barycentre de son périmètre de distribution. L'entrepôt doit être équipé d'un système informatique. (Agrojob)

Coûts : coût associer a l’entreposage
40% pour les infrastructures
50% pour les frais directs
10% pour les frais généraux
Ces coûts diffèrent en fct de la localisation et en fct des produits
Les 40% st impactés par la réglementation ICPE
Les ICPE : critère de classement pr le stockage des produits

Anonyme a dit…

Les processus de management :

(appelés parfois processus de pilotage) correspondent à la détermination d'une politique et d'une stratégie pour l'organisation et au pilotage des actions mises en œuvre pour atteindre ses objectifs.

Anonyme a dit…

Les processus de soutien :

(appelés également processus de support) représentent une activité interne, généralement transversale, permettant d'assurer le bon fonctionnement de l'entreprise. Les processus de support sont généralement transparents pour le client (bénéficiaire). Il peut s'agir par exemple de la gestion financière, de la gestion des ressources humaines, la formation, etc.
)

Anonyme a dit…

Le mode projet :

Le management en mode projet consiste à gérer une activité qui n'est pas un projet avec des méthodes de gestion de projet.
Il permet d'espérer ne pas subir, mais aussi de maîtriser les investissements au regard du niveau de service attendu.

BIGNON Eva a dit…

Supply Chain Management (SCM):
L'expression anglaise Supply Chain Management (SCM) peut se traduire par "gestion de la chaîne d'approvisionnement" (supply chain en anglais). L'object du SCM est la maîtrise de l'ensemble des flux logistiques de l'entreprise. Cette notion tend même vers la maîtrise des flux de l'ensemble des acteurs de la chaîne (flux des fournisseurs et des clients inclus).
Idéalement, le SCM souhaite coordonner la gestion des flux d'un réseau en termes de coûts, délais et qualité depuis l'approvisionnement des founisseurs jusqu'à la distribution des clients des clients.

Le credo du SCM est que l'optimum global n'est pas obtenu en sommant des optimums locaux dont l'atteinte répond bien souvent à des intérêts contradictoires (en particulier en terme de coûts / recettes).
En terme de gestion, le SCM implique une logique de collaboration et de partage des informations. Fournisseurs, clients et même parfois concurrents doivent être considérés comme partenaires. Chaque bénéfice issu d'un tel mode de fonctionnement doit automatiquement être répercuté sur chacun des acteurs et non profiter à l'acteur dominant (au distributeur plutôt qu'au fournisseur, par exemple). Si tel n'est pas le cas, la confiance entre les protagonistes, base même du SCM, disparaît et la collaboration n'est plus totale (informations dissimulées, non coopération, etc.).
Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

La méthode des Zéros :
En réaction aux limites du Taylorisme et du Fordisme, le Toyotisme apporte des notions de réactivité (flux tendus grâce au Kanban), et de qualité de la main d'oeuvre (polyvalence, tâches plus variées et donc motivantes).
L'objectif du toyotisme est de responsabiliser les ressources humaines, de promouvoir leurs potentiels et la qualité du travail et de la production.
Pour réduire les coûts et de lutter contre les gaspillages, la méthodes des zéros complète le toyotisme.
A l'origine, cette méthode était celle des 3 zéros (0 défaut, 0 délai, 0 stock). Depuis de nombreux "autres zéros" sont venu enrichir cette méthode, à tel point que la méthode des zéros n'est toujours pas figée...
titre d'exemple citons les éléments les "principaux zéros":
- 0 défaut
- 0 délai
- 0 stock
- 0 conflit
- 0 accident
- 0 papier
- 0 pollution
Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

La Reverse Logistics / La logistique des retours:
La logistique des retours concerne la gestion des flux du consommateur vers le producteur.
Ces flux peuvent avoir pour objet la gestion du Service Après Vente (SAV), le recyclage des déchets ou la gestion des invendus (en particulier dans la distribution de la presse par exemple).
Activité clé pour des secteurs comme la presse, le commerce électronique ou la vente par correspondance, les problématiques de protection de l’environnement exigent également une logistique inversée performante.
Il est nécessaire de distinguer deux types de retour :
- Le retour des produits …
- Le retour des emballages
Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

Le lean six sigma:
Le lean-six-sigma associe les méthodes qualitatives du lean management et du six sigma pour améliorer de manière substancielle la performance logistique de l'entreprise
Le lean management
Le Lean management est une méthode de gestion des processus de production qui vise à identifier les causes de non productivité et de non utilisation optimale des ressources dans le but de dimensionner au plus juste les besoins en ressources nécessaires pour assurer le bon fonctionnement de ces processus dans le respect des délais.
Une mise en place efficace de cette méthode doit donc permettre de réaliser des économies substancielles.
Le six sigma
Le six sigma est une méthode de management du progrès dont l'objectif est l'amélioration continue de la qualité des produits livrés aux clients, ce qui doit permettre d'éviter de supporter les coûts liés à la logistique des retours (reverse logistics) et de satisfaire toujours plus les clients.

Les défauts du processus de production sont analysés et modifiés en conséquence. L'idée qui a donné son nom à la méthode est de répondre aux possibilités de non conformité de part et d'autres de la moyenne de 3 écarts-types (les fameux 6 sigma). Ces causes de non conformité doivent être maîtrisées grâce à l'utilisation de tableau de bord tels que les KPI logistiques.
Elle nécessite un investissement de tous les acteurs de l'entreprise, de la direction aux utilisateurs. Certaines notions fondamentales de la gestion d'un projet sont naturellement requises (communication, formation, implication des utilisateurs, etc.)
Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

diagramme de GANTT :
Le diagramme de GANTT est un outil permettant de modéliser la planification de tâches nécessaires à la réalisation d'un projet. Il s'agit d'un outil inventé en 1917 par Henry L. GANTT.

Etant donné la relative facilité de lecture des diagrammes GANTT, cet outil est utilisé par la quasi-totalité des chefs de projet dans tous les secteurs. Le diagramme GANTT représente un outil pour le chef de projet, permettant de représenter graphiquement l'avancement du projet, mais c'est également un bon moyen de communication entre les différents acteurs d'un projet.

Ce type de modélisation est particulièrement facile à mettre en œuvre avec un simple tableur mais il existe des outils spécialisés dont le plus connu est Microsoft Project. Il existe par ailleurs des équivalents libres (et gratuits) de ce type de logiciel.
Source: www.commencamarche.net

BIGNON Eva a dit…

CMMI :
CMMI (Capacity Maturity Model Integrated, traduisez modèle intégré du niveau de matûrité) est un modèle d'évaluation du niveau de maturité d'une entreprise en matière de développements informatiques.

Basé sur le CMM, dont il reprend l'essentiel des notions en élargissant son périmètre, le CMMI propose un référentiel des meilleures pratiques (best practices) en matière de développement logiciel.

L'objectif est d'encourager les entreprises à mettre leurs processus sous contrôle, à les améliorer de façon continue et d'évaluer leur niveau de matûrité sur l'échelle de cinq niveaux de matûrité proposée par le CMMI.
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

COBIT :
COBIT ( Control Objectives for Information and related Technologies, traduisez contrôler les objectifs des technologies de l'information) est une méthodologie d'évaluation des services informatiques au sein de l'entreprise, publiée en 1996 par l'IT Governance Institute et l'ISACA (Information Systems Audit and Control Association) représentée en France par l'AFAI (Association Française de l'Audit et du conseil Informatique)..

Cette démarche s'appuie sur un référentiel de processus et sur des indicateurs d'objectifs (KGI) et de performance (KPI) permettant de mettre les processus sous contrôle afin de disposer des données permettant à l'entreprise d'atteindre ses objectifs.

La démarche COBIT propose ainsi 34 processus organisés en 4 grands domaines fonctionnels, permettant de couvrir 318 objectifs :

Deliver & Support
Monitor
Planning & Organisation
Acquire & Implement
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

GED:
La GED (Gestion électronique de documents ou, en anglais, Electronic Content Management, noté ECM ou Electronic Document Management, noté EDM) représente l'utilisation de moyens informatisés pour l'ensemble de la gestion d'un document électronique (fichier texte, fichier tableur, image, vidéo, fichier audio etc.).

L'objectif de la GED est de parvenir à constituer un référentiel de l'ensemble des documents de l'entreprise, qu'ils soient structurés (bases de données, XML, etc.) ou non (HTML, etc.) afin d'être en mesure de gérer leur cycle de vie, de leur création à leur destruction.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

Datamining :
Le Datamining (littéralement « forage de données »), contrairement à l'analyse multidimensionnelle (OLAP), a pour but de mettre en évidence des corrélations éventuelles dans un volume important de données du système d'information afin de dégager des tendances.

Le datamining s'appuie sur des techniques d'intelligence artificielle (réseaux de neurones) afin de mettre en évidence des liens cachés entre les données.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

OLAP:
Le but de l'OLAP (On-Line Analytical Processing) est de permettre une analyse multidimensionnelle sur des bases de données volumineuses afin de mettre en évidence une analyse particulière des données (il est l'objet d'un questionnement particulier).

Grâce à l'OLAP, les utilisateurs peuvent créer des représentations multidimensionnelles (appelées hypercubes ou « cubes OLAP ») selon les critères qu'ils définissent afin de simuler des situations.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

EIS:
Un EIS (Executive Information System) est un outil permettant d'organiser, d'analyser et de mettre en forme des indicateurs afin de constituer des tableaux de bord. Ce type d'outil, facile à utiliser, ne permet de manipuler que des requêtes préalablement modélisées par le concepteur.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

Tierce maintenance applicative:
La tierce maintenance applicative (notée TMA) consiste à externaliser la maintenance des applications, c'est-à-dire confier tout ou partie de la maintenance des applications à un prestataire informatique tiers contre rémunération en définissant des niveaux de disponbilité, de délais et de qualité.

La maintenance applicative consiste à assurer le bon état de fonctionnement d'un logiciel, ce qui comprend notamment la correction des bugs, l'adaptation à un nouvel environnement ou à de nouveaux cas d'utilisation ou encore assurer la montée en charge de l'application.

Par opposition, la maintenance évolutive, non couverte par la TMA, consiste à apporter de nouvelles fonctionnalités à une application.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

ILM:
La démarche de l'ILM (Information Lifecycle Management) consiste à prendre en compte une réflexion globale sur la gestion rationnelle du patrimoine d'information de l'entreprise en fonction de la valeur de l'information et du coût de son stockage.

L'ILM est une démarche globale visant d'une part à rationnaliser les moyens de stockage de l'information afin de prendre en compte les exigences techniques, réglementaires et juridiques les plus adaptées pour stocker et rendre disponible l'information, d'autre part pour assurer un suivi du cycle de vie des documents.

L'ILM prend ainsi en compte les notions de disponibilité et de rapidité d'accès à l'information en fonction de l'évolution de sa valeur dans le temps, de sa création à sa destruction.

Une démarche d'ILM permet d'appliquer des règles de stockage différentes selon la valeur de la donnée à sauvegarder, afin d'adapter au mieux les critères suivants :

utilité de la donnée
exigences de sécurité : intégrité, confidentialité et disponibilité des données
exigences réglementaires sur les données
temps d'accès aux données
coût de stockage
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

PLM:
Alors que la Gestion de la Relation Client (CRM - Customer Relationship Management) s'attache à rassembler toutes les informations concernant les clients, la démarche de PLM (Product Lifecycle Management) consiste à capitaliser toutes les informations concernant un produit industriel.

Le PLM est une démarche à rapprocher du Knowledge Management, si ce n'est qu'elle est axée autour du produit. L'objectif du PLM est de permettre aux différentes entités de l'entreprise, de la production à la vente, de partager la connaissance des différents stades du cycle de vie d'un produit (conception, fabrication, stockage, transport, vente, service après-vente, recyclage).

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

EAI:
L'objet de l'EAI (Enterprise Application Integration, traduisez intégration des applications de l'entreprise) est l'intéropérabilité et l'organisation de la circulation de l'information entre des applications hétérogènes, c'est-à-dire faire communiquer les différentes applications constituant le système d'information de l'entreprise, voire même celles des clients, des partenaires ou des fournisseurs.

Un projet d'EAI consiste donc dans un premier temps à mettre en place une architecture dans laquelle les différentes applications communiquent entre elles. Il s'agit donc de développer des connecteurs (middleware) permettant d'interfacer des applications utilisant des protocoles de communications différents (généralement propriétaires).

Toutefois le projet d'EAI va au-delà de l'intéropérabilité entre les applications : il permet de définir un workflow entre les applications et constitue ainsi une alternative aux ERP avec une approche plus modulaire.

Néanmois, l'EAI conserve des limites liées à la rigidité de l'existant (appelé legacy, traduisez héritage), si bien qu'il est nécessaire de modifier le connecteur lors de modifications importantes des applications.
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

Knowledge Management :
On appelle « Knowledge Management » (noté KM, en français management des connaissances ou management par les connaissance) les méthodes et outils logiciels permettant d'identifier, de capitaliser les connaissances de l'entreprise afin notamment de les organiser et de les diffuser.

On distingue généralement les connaissances tangibles (également appelées connaissances explicites) de l'entreprises, contenues dans les bases de données ou bien dans tous les documents papiers ou électroniques, des connaissances tacites (également appelées connaissances intangibles ) composées des connaissances, du savoir-faire et des compétences de l'ensemble du personnel (on parle ainsi de « capital immatériel »). La performance d'une entreprise dépend directement des compétences métiers, de l'expérience et des connaissances stratégiques individuelles, mais elles sont rarement partagées par tous.

En effet, ce sont bien les ressources humaines d'une entreprise qui en font la force, la réactivité et le dynamisme, ou plus exactement le travail en synergie de ces différentes personnes. Le terme d'intelligence collective, de plus en plus répandu dans la littérature, met bien en évidence le fait que le bon fonctionnement de l'entreprise dépend fortement de la capacité à disposer au bon moment de la bonne information.

Par ailleurs, avec le développement des technologies de l'information et de la communication, l'écueil inverse peut être la surinformation (parfois qualifiée de pollution informationnelle voire de harcèlement textuel) : « trop d'information tue l'information » !

L'objectif du projet de gestion de connaissance est donc d'identifier, de capitaliser et de valoriser le capital intellectuel de l'entreprise en impliquant l'ensemble du personnel.
Source: www.commentcamarche.net

Patissier Martin a dit…

TACK TIME : durée qui représente le temps moyen entre 2 demandes unitaires des clients, c'est à dire la durée (ou durée ouvrée) d'une période divisée par la quantité demandée pendant cette période.

Source: www.agrojob.com/dictionnaire/

Patissier Martin a dit…

Le SMED
La production et la logistique sont aujourd'hui marquées par le développement du juste à temps et la nécessité de réduire les stocks.

Il est devenu indispensable de répondre rapidement aux évolutions de la demande tout en minimisant les coûts logistiques.

La mise en oeuvre de la méthode SMED (SMED est l'acronyme de Single Minute Exchange of Die) contribue à atteindre ces deux objectifs.

L'application de la méthode SMED a pour objectif de minimiser les temps de changement d'outils nécessaires au passage d'une série de production à une autre.


Cette méthode est basée sur la différenciation entre tâches internes et externes :
- Les tâches internes sont les tâches dont la réalisation nécessite l'arrêt de l'outil de production
- Les tâches externes sont les tâches non directement dépendantes du processus de fonctionnement de l'outil de production. La méthode SMED préconise de les traiter en temps masqué (pendant le fonctionnement des machines)

Source: www.faq-logistique.com

Patissier Martin a dit…
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Patissier Martin a dit…

Le Picking Vocal

Basé sur la reconnaissance vocale, ce système permet via un ensemble casque / micro au préparateur de "communiquer" avec le système de gestion d'entrepôt

Chaque utilisateur doit au préalable opérer un "paramétrage vocal". Une fois ce paramétrage effectué, il suffit de se connecter pour que le système affecte des ordres de déplacements et de prises aux préparateurs. Chaque opération peut être contrôlée oralement par confirmation de l'adresse des emplacements et décompte des unités prélevées / restant à l'adresse picking.


La communication entre le serveur et l'opérateur est donc réciproque, le système étant en mesure d'interpéter les messages de l'opérateur.

En libérant les mains du préparateur, le picking vocal permet à la fois d'améliorer la productivité et de réduire les erreurs de préparation.


source: www.faq-logistique.com

Patissier Martin a dit…

Définition de la RFID

La RFID est un système d'identification par radiofréquence qui permet d'écrire, de stocker et de relire des informations sur des étiquettes électroniques intégrées aux produits à tracer.

Un système RFID se compose d'une puce électronique équipée d'une antenne (l'étiquette RFID) et d'un lecteur.

Source: www.faq-logistique.com

Patissier Martin a dit…

L'EPC (Electronic Product Code) :

Le système américain EPC a pour objet la standardisation du code. Il associe la technologie RFID à un réseau de bases de données utilisant les technologies internet. Chaque objet est identifié par une numéro de série : le code EPC. Lors de son passage dans une zone de lecture, toutes les informations relatives à l'objet sont retrouvées dans le réseau EPC.

Source: www.faq-logistique.com

Baptiste Lorin a dit…

La traçabilité :

La traçabilité a été définie en 1987 par la norme NF EN ISO 8402 comme « l’aptitude à retrouver l’historique, l’utilisation ou la localisation d’une entité au moyen d’identifications enregistrées ».

L’entité peut désigner :
- un processus
- un produit
- un organisme ou une personne


En se plaçant du côté de l’utilisateur, la traçabilité peut être définie comme le fait de suivre les produits quantitativement et qualitativement.

En se plaçant du côté de la gestion de l’information, la traçabilité permet dans une chaîne d’approvisionnement d’associer systématiquement un flux d’informations à un flux physique. L’objectif est de pouvoir retrouver à un instant précis des données préalablement déterminées relatives à des lots ou regroupements de produits et ce à partir d’un ou plusieurs identifiants clés.



Tracing (Traçabilité produit) et Tracking (traçabilité logistique) :

Le tracing permet de reconstituer qualitativement le parcours des produits. On l’utilise pour rechercher les causes d’un problème qualité.

Le tracking correspond à un suivi quantitatif. Il permet de localiser les produits, déterminer les destinations et les origines.

Source: www.faq-logistique.com/

Baptiste Lorin a dit…

Le dimensionnement d'un réseau d'entrepôts:

Postes de coûts impactés négativement par l'augmentation du nombre d'entrepôts
- transport amont: plus le nombre d'entrepôts est important, plus la distance globale augmente entre les usines et les centres livreurs.
- coûts de stockage: le niveau de stock global croît avec le nombre d'entrepôts - coûts fixes: les coûts fixes augmentent en palier. chaque entrepôt nécessitant son personnel, ses moyens, etc. on peut considérer que doubler le nombre d'entrepôts double également les coûts fixes.
- coûts de manutention: comme les coûts fixes, les coûts de manutention sont directement liés au nombre d'entrepôts.

Poste de coûts impactés positivement par l'augmentation du nombre d'entrepôts
- transport aval: on se rapproche naturellement des points de livraison finaux, le nombre de kilomètres parcourus de l'entrepôts aux clients est donc réduit.



Augmenter le nombre d'entrepôts pour livrer un marché permet donc d'améliorer le taux de service et la réactivité par rapport à la demande. Cependant, à un certain niveau, l'amélioration marginale du taux de service devient négligeable et ne justifie pas les sucoûts engendrés.

Au-delà du nombre d'entrepôts, d'autres critères sont également à prendre en compte comme l'implantation géographique de ces entrepôts, leur périmètre d'influence (zone capillaire) ou encore leur organisation.

Source: www.faq-logistique.com

Baptiste Lorin a dit…

La pyramide du CIM:

La pyramide du CIM est une méthode largement généralisée (en particulier dans l'informatique).

Il s'agit d'une représentation comportant 4 niveaux auxquels correspondent des niveaux de décision.

Plus on s'élève dans la Pyramide du CIM, plus le niveau de décision est important, plus la visibilité est globale et plus les cycles standards s'allongent.

Un niveau supérieur décide ce qu'un niveau inférieur exécute.

Source: www.faq-logistique.com

Baptiste Lorin a dit…

Les modules SCE:

Les modules de SCE assurent la gestion opérationnelle de la Supply Chain (le très court terme).

Ils permettent :
- de rationaliser la totalité du cycle de traitement des commandes (de l’entrée à la facturation)
- d'optimiser la gestion de la production,
- d'optimiser le transport (Transport Management Systems - TMS) et
- d'optimiser la gestion d'entrepôt (Warehouse Management Systems - WMS).
Source: www.faq-logistique.com

Baptiste Lorin a dit…

les formations au kaizen:

Par opposition au reengeneering, le kaizen (ou méthode des 5 S) est basé sur le credo de la démarche continue de progrés.

Au lieu de repartir de zéro, on cherche à améliorer au fur et à mesure les différents process de l'organisation en appliquant les 5 types d'actions suivants (les fameux 5 S )

- Etre soigné (SEIKETSU)

- Nettoyer (SEISO)

- Mettre en ordre (SEITON)

- Ranger (SEIRI)

- Respecter les procédures (SHITSUKE)
Source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

QU'EST-CE QUE LA METHODE DE DELPHES ? DESCRIPTION
La Méthode de Delphes (Delphi Method) de T.J. Gordon, Olaf Helmer, et Norman Dalkey est une technique qui peut être employée pour structurer un processus de communication de groupe pour résoudre un problème complexe. La Méthode de Delphes est basée sur Approche Dialectique par Enquête : Thèse (établit une opinion ou une vue), antithèse (opinion ou vue contradictoire) et finalement synthèse (une nouvelle convention ou consensus). La synthèse devient alors la nouvelle thèse. Elle aide à établir le consensus au sujet d'un sujet complexe particulier. Sans nécessité pour les contributeurs de se rencontrer en personne. Un panel d'experts formule un ensemble d'hypothèses au sujet de la future condition du sujet en question. Celles-ci sont distribuées aux participants. Leurs commentaires anonymes sont alors incorporés dans les hypothèses modifiées. Le processus itératif continue jusqu'à ce que le consensus soit réalisé sur les hypothèses.

Anonyme a dit…

QU'EST-CE QUE SIGNIFIE L'APPRENTISSAGE PAR L'ACTION ? DESCRIPTION
Quelques définitions de l'Apprentissage par l'Action (Action Learning) sont :
• Un processus pour rassembler un groupe de personnes avec des niveaux divers de qualifications et d'expérience pour analyser un problème réel de travail et pour développer un plan d'actions. Le groupe ad-hoc continue à se réunir pendant que les actions sont mises en oeuvre, apprenant durant le processus d'exécution et faisant des corrections à mi-parcours. L'Apprentissage par l'Action est une forme d'apprentissage pratique en faisant.
• Une approche du développement personnel et de l'organisation. Travaillant par sous-ensembles ou par groupe, les participants abordent les questions ou les problèmes importants d'organisation et apprennent par, et sur leurs tentatives de changer les choses. L'instruction traditionnelle, ou la « connaissance programmée », est quand nous sommes confrontés aux « puzzles » - des défis appropriés qui ont une bonne réponse. Cependant, quand nous sommes confrontés aux « problèmes » - les défis qui n'ont aucune bonne réponse - nous avons besoin de réflexion critique ou « de perspicacité de interrogation ». L'apprentissage par l'action encourage une telle réflexion en fournissant le support pour permettre aux participants d'apprendre à partir des défis relevés sur eux-mêmes ainsi que sur le processus en lui-même. Les revenus de l'apprentissage à tous ces niveaux sont que les connaissances sont plus probables ont sont transmissible à d'autres situations et des participants seront engagés dans la « boucle rétroactive d'apprentissage » où ils reçoivent non seulement le feedback sur leurs actions, mais identifieront leurs certitudes fondamentales et modèles mentaux sous l'examen minutieux.
• Une approche basé sur l'expérience des personnes impliquées dans un processus de développement personnel qui utilise le travail sur des problèmes significatifs comme manière d'apprendre. Les programmes d'apprentissage par l'action font participer de petits groupes qui se réunissent régulièrement pour mettre en oeuvre des actions en réponse à des problèmes critiques et réels tandis qu'ils recherchent clairement à apprendre sur le processus de choix de cette action. Habituellement, l'aspect enseignement est facilité par un "coach d'apprentissage" qui est compétent à utiliser l'expérience collective des membres du groupe pour créer des occasions d'apprentissage.

Anonyme a dit…

ANALYSE DE CAUSE A EFFET ? DESCRIPTION
L'Analyse de Cause à Effet (ACE) est une technique étape-par-étape structurée qui se focalise sur rechercher la cause réelle d'un problème et le traiter. Plutôt que de simplement traiter ses symptômes. Root Cause Analysis (Analyse de Cause Racine) est une procédure pour déterminer et analyser les causes des problèmes, pour déterminer comment ces problèmes peuvent être résolus ou empêchés de l'occurrence. C'est un processus pour aider des partenaires à comprendre des causes assez d'un puits de problème pour réaliser la résolution permanente de ce problème.

Anonyme a dit…

QQOQCCP
Pour un projet, par exemple, elle consiste à s'interroger sur ses différents aspects :

Qui ? (gens ou catégories de gens concernés)
Quoi ? (actions à effectuer)
Où ? (domaines touchés par le projet, lieux)
Quand ? (programmation dans le temps)
Comment ? (moyens, méthodes, etc.)
Combien ? (quantités, budget)
Pourquoi ? et/ou Pour quoi ? (motifs et objectifs)
Le but de cette méthode est d'obtenir un ensemble d'informations pour comprendre quelles sont les causes et aspects à traiter, puis de ne rien oublier dans l'exécution.

Afin d'y parvenir, on se base sur des observations, des faits et des informations disponibles ou à recenser.

Un moyen mnémotechnique pour se rappeler cette suite de lettres consiste à changer l'ordre de lettres en CQQCOQP (« c'est cucul, c'est occupé »).

Anonyme a dit…

Iso 10006
L'ISO 10006:2003 donne des conseils sur l'application du management de la qualité aux projets.

Elle est applicable à des projets de complexité variable, qu'ils soient petits ou grands, de courte ou longue durée, qui se situent dans des environnements différents, quel que soit le type de produit ou de processus de projet. Il peut être nécessaire d'adapter ces conseils à un projet précis.

L'ISO 10006:2003 ne constitue pas un guide pour le «management de projet» en lui-même, mais se contente de donner des conseils sur la qualité dans le cadre des processus de management de projet alors que l'ISO 9004 donne des conseils sur la qualité dans le cadre des processus relatifs au produit du projet et sur l'«approche processus».

Il convient de noter que la présente Norme internationale est un recueil de conseils et qu'elle n'est pas destinée à être utilisée pour des besoins de certification/enregistrement.

(source www.iso.org)

Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/ISO_10006 »

Anonyme a dit…

def: data warehouse

Equivalents ou assimilés : datawarehouse, DWH, warehouse, WH

Entrepôt de données : Un data warehouse centralise des informations extraites de différentes applications et bases de données rattachées à l'environnement de production, à l'activité commerciale, etc., pour faciliter la prise de décisions. Synchrones ou asynchrones, les mécanismes d'extraction des données sont régis à travers des méta-données. Ils alimentent une base de données dite multidimensionnelle, dans laquelle le stockage des informations est organisé par axes d'analyse pour accélérer la consultation et les agrégations.

Le data warehouse peut être segmenté en multiples datamarts, sous-ensembles ou cubes multidimensionnels, dans lesquels le nombre d'axes a été réduit.

Anonyme a dit…

Le mot : Boucles causales - Pensée systémique

Définition : Visualiser, sous forme de boucles causales, l'interdépendance des éléments de décision et faire ressortir les éléments critiques sur lesquels il faut agir.
Cette technique permet d'apprivoiser des phénomènes complexes selon une approche systémique plutôt que l'approche linéaire «causes-effet» habituelle.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

Le mot : Boite à moustaches

Définition : Représenter simplement les éléments clés de la distribution d'une ou de plusieurs séries de données. Le graphique ressemble à une boîte de laquelle sortent deux lignes, d'où son appellation.
Il met en évidence les valeurs minimale, médiane et maximale ainsi que le premier et le troisième quartile de chacune des séries de données. Il est alors possible de comparer visuellement plusieurs distributions.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

Le mot : Contrôle par échantillonnage
Définition : Diminuer les coûts d'inspection tout en s'assurant que les produits respectent les spécifications.
Plutôt que d'inspecter toutes les unités d'un lot, on ne contrôle qu'un échantillon
À l'aide d’outils statistiques, on juge de l'acceptabilité du lot complet, ce qui diminue considérablement les coûts d'inspection, tout en permettant de contrôler les risques associés au client et au fournisseur.
Cette technique permet toutefois de ne constater qu’a posteriori la qualité des lots.
Source : qualitéonline.com

Anonyme a dit…

Le mot : Méthode IDEF0

Décrire un processus ou un système complexe de façon claire et précise.
IDEF0 (prononcé «IDEF zéro») est une approche formelle qui permet de représenter les différents niveaux de détail des processus et des systèmes en utilisant de simples boîtes (activités) et flèches (entrées et sorties).
Chacune des activités peut être développée jusqu'au niveau de détail désiré, sans que l’on se perde dans la complexité du processus.
La documentation de chacun des niveaux s’en trouve standardisée.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

Le mot : Méthode Hoshin

Définition : Diriger les efforts sur certains objectifs clés à court terme afin d'effectuer une percée pour atteindre les objectifs et la vision à long terme.
Cette méthode ne constitue pas un projet avec un début et une fin.
C'est un mode de gestion continue dont l’objet est l'amélioration et le changement à petits pas.
Pour ce faire, on met en place une structure de gestion ayant comme caractéristiques la cohérence verticale et la coopération horizontale.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

Le mot : Théorie de résolution des problèmes inventifs (TRIZ)

Définition : Sert à contrôler le processus d'innovation pour résoudre des problèmes plus ou moins complexes (contradictions techniques ou physiques nécessitant des solutions inventives).
Basé sur l'idée selon laquelle les découvertes et les inventions reposent sur des principes universels, le processus du TRIZ permet de développer de nouvelles solutions à partir des inventions et des connaissances externes au champ d'étude plutôt que de toujours repartir à zéro.
Source : qualitéonline.com

Anonyme a dit…

le mot : effet mohring
définition : Propriété des systèmes de transport illustrant les rendements d'échelle. Lorsque, sur un trajet donné, les moyens de transport (par exemple des bus) augmentent en quantité pour satisfaire la demande, leur fréquence augmente également, rendant l'utilisation de ces moyens de transport plus avantageux pour les utilisateurs (puisque leur temps d'attente diminue). L’appellation de cet effet vient de l'économiste qui l’a étudié, Herbert Mohring.
source : wikipédia

Anonyme a dit…

le mot : Soutien Logistique Intégré
définition : ensemble de techniques visant à définir le système de soutien qui sera associé au système principal. Le but du système de soutien est d'assurer au système principal sa disponibilité opérationnelle.
Surce : wikipédia

Anonyme a dit…

le mot : Effet de réseau ou effet-club
Définition : Mécanisme d'externalité positive économique qui prévoit que l'utilité d'un bien pour un agent dépende du nombre des autres utilisateurs. C'est le cas de nombreuses technologies et service de communications.

Par exemple, on valorisera d'autant plus un fax qu'il y aura d'autres utilisateurs qui peuvent en émettre et recevoir. Inversement, on apprécie d'autant moins un réseau routier aux heures de pointes qu'il est saturé. Les deux types de mécanismes peuvent être en jeu sur la même technologie, dans le cas du courrier électronique par exemple.

Si l'utilité est positivement proportionnelle au nombre des autres utilisateurs, cela revient à dire que la valeur du réseau est d'ordre carré du nombre de clients. C'est donc un effet potentiellement considérable, qui a souvent décidé de choix technologiques importants.

Source : Wikipédia

Anonyme a dit…

le mot : réactivité industurielle
Définition : Une entreprise réactive est une entreprise qui réagit rapidement aux besoins de ses clients. La réactivité consiste en la capacité d'une entité à répondre rapidement aux sollicitations de son environnement.

Source : wikipédia

Anonyme a dit…

le mot : Code-barres EAN
Définition : code à barres utilisé par le commerce et l'industrie conformément aux spécifications d'EAN International, organisme aujourd'hui remplacé par GS1[1].

Note : Il est connu en France sous le nom de GENCODE, à tort, puisque GENCOD était le nom de l'organisme français chargé de sa régulation nationale.

Source : wikipédia

Anonyme a dit…

le mot : radio identification
Définition : méthode pour stocker et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collées ou incorporées dans des produits. Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permettent de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l'émetteur-récepteur.

Source : wikipédia

Anonyme a dit…

L’analyse des processus

La démarche processus permet de comprendre le fonctionnement des différentes étapes d’une organisation ou d’un système afin d’optimiser les processus clés en priorité et mettre en place la maîtrise des risques et l’assurance de la qualité.

Cette méthodologie d’amélioration repose sur 6 critères de choix :
- l’impact client
- la stratégie de l’organisme
- les enjeux économiques
- les dysfonctionnements
- les opportunités de l’organisme
- l’adhésion du personnel

Laurent SUOS a dit…

La gestion des flux tôlerie
La gestion des flux tôlerie a pour objectif la livraison de pièces en juste à temps en respect des critères de qualité exigés.

Laurent SUOS a dit…

La préparation des gammes opératoires et des fiches de poste

Cette préparation vise à accompagner les acteurs de la production avec pour objectifs :
- la création de synoptique de lignes de production
- la mise en place de gammes opératoires de cette même ligne
- la mise en place des fiches opérationnelles aux postes
- l’implication des Hommes dans la gestion de leur îlot de production (ateliers, bureaux…)
- l’acquisition de compétences organisationnelles et relationnelles
Dans le but :
- d’optimiser le démarrage d’un nouveau produit sur vos sites de production
- de développer le travail en équipe et la communication entre le produit et le process
- de favoriser la mise en place d’un nouveau projet

Laurent SUOS a dit…
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Laurent SUOS a dit…

La gestion et le suivi rigoureux de vos stocks

L’existence d’un stock se justifie par le souci légitime de parer aux aléas du transport, de la fabrication ... Il sert de régulateur entre les livraisons et les utilisations qui se font suivant des rythmes différents. Cependant au-delà des avantages, le stock possède des inconvénients tels que la périssabilité et les invendus qui immobilisent une part plus ou moins grande de la trésorerie sans aucun profit…
Il apparaît aujourd’hui que, malgré ses inconvénients, un stock minimum est utile sinon indispensable à condition qu’il soit bien géré pour une meilleure efficacité.

Laurent SUOS a dit…

GESTION ADMINISTRATIVE

La gestion administrative se décompose en deux sous-fonctions :
- La tenue des stocks qui consiste en une comptabilité physique (magasinage, tenue de fichier) et comptable des produits en stocks.
- La gestion des stocks qui consiste pour chaque produit, à maintenir des stocks et à définir la politique de réapprovisionnement et de distribution la mieux adaptée.

Laurent SUOS a dit…

STOCK MINIMUM

Il faut toujours détenir un stock minimum : quantité juste suffisante pour couvrir la période allant de la dernière commande à la livraison.

Anonyme a dit…

MTTR
L'indicateur MTTR (Mean Time To Repair) littéralement : temps moyen pour réparer, exprime la moyenne des temps de tâches de réparation. Il est calculé en additionnant les temps actifs de maintenance ainsi que les temps annexes de maintenance, le tout divisé par le nombre d'interventions.

MTTR = Temps d'arrêt Total / nombre d'arrêts

http://chohmann.free.fr/maintenance/mtbf_mttr.htm

Laurent SUOS a dit…

STOCK D'ALERTE

Quand le stock d'alerte est atteint, il convient de passer la commande.
Ce stock d'alerte est la somme de 2 éléments :
- le stock minimum
- le stock de sécurité

Laurent SUOS a dit…

METHODE 20/80

La méthode 20 / 80 a pour objectif de sélectionner les articles pour lesquels il convient d'organiser en priorité la gestion des stocks.
Quand on constate que 20 % environ des produits référencés représentent environ 80 % de la valeur du stock, on applique à ces produits une gestion complexe et rigoureuse (les 80 % en quantité qui ne représentant que 20 % en valeur se voient appliquer une gestion beaucoup plus souple).
Remarque :
Ces méthodes de gestion des stocks sont théoriques. Leur application réelle peut varier beaucoup d'une entreprise à une autre.

Laurent SUOS a dit…

METHODE DE WILSON

Par une méthode mathématique et graphique (méthode de Wilson) , on peut établir le nombre optimal de commandes à effectuer.
2 séries de coûts sont liés au stock :
- coût de passation des commandes
- coût de possession (stockage, manutention, assurance, personnel…)
L'analyse de ces 2 séries de coûts, et du coût total qui en résulte, permet de déterminer le nombre optimal de commandes.

Laurent SUOS a dit…

Le magasinage dans l’entreprise…..

Stocker, réceptionner, manutentionner, expédier ne résume plus la fonction du magasinage . Depuis que l’informatique et l’automatisation ont pris la relève, le magasinage tient aujourd’hui une place prépondérante dans la chaîne logistique étendue.
En amont de la production sa mission consiste à:
- Coordonner les opérations de stockage de matières premières, de biens intermédiaires ou de pièces de rechange pour les installations - Veiller à la bonne réception des produits, au contrôle et à leur transfert vers les lignes de production
- Optimiser les indicateurs qualité, coûts, délais
En aval de la production son rôle consiste à :
- Organiser et superviser leur stockage
- Optimiser le taux de service
- Stocker des produits finis en attente d’expédition

Anonyme a dit…

MTBF
La moyenne des temps entre deux pannes (Mean Time Between Failures) est le temps moyen avant panne. Cette valeur indique la fiabilité d'un composant.

www.wikipedia.fr

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